Jesper Christensen
Casino Royale (Martin Campbell - 2006)
jeudi 28 décembre 2006 Vu dans : Cinéma
Pas de doute, il le fait.
Daniel Craig est un James Bond exceptionnel et il
renouvelle un genre qui s'était fourvoyé dans des
scènes d'action invraisemblables et des scénarios
trop accessoirisés. De l'action, il y en a bien
sûr, mais elle est maîtrisée et ne constitue pas
l'essentiel du film. Il y a aussi l'humour
légendaire du personnage qui s'était perdu petit
à petit après la période Sean Connery. Le héros
est ici un personnage débutant, donc fragile et
parfois défaillant, mais c'est aussi ce qui en
fait le charme. Quelques scénes seront
certainement reprises dans les anthologies.
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Casino Royale (Martin Campbell - 2006)
dimanche 05 août 2007 Vu dans : DVD / K7
Film visionné à partir d'un
DVD Blue-Ray en HD lu sur une PS3 et projeté sur
un écran LCD Sharp de 42 ". Eh bien, franchement,
je ne vois pas de différence par rapport à un
"simple" DVD. Peut-être une question de réglages
ou bien faut-il un équipement encore plus
sophistiqué. Mais quand le film est bon, peu
importe les conditions de visionnage finalement.
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Casino Royale (Martin Campbell - 2006)
dimanche 06 décembre 2009 Vu dans : Télévision
Victoria: Les jeunes années d'une reine (Jean-Marc Vallée - 2009)
lundi 30 août 2010 Vu dans : DVD / K7
Quantum of Solace (Marc Forster - 2008)
dimanche 02 novembre 2008 Vu dans : Cinéma
Pour la première fois, un
James Bond reprend là où l’histoire s’était
arrêtée lors du précédent épisode. Car notre
héros ne compte pas en rester là - au grand dam
de ses supérieurs qui ne le contrôlent pas - et
il s’attaque à une organisation qui rappelle le
Spectre des anciens opus. Dès lors, la machine
aux morceaux de bravoure est lancé dès le début
et elle n’est pas prête de s’arrêter (ne pas
rater la course poursuite en avion ni la
désintégration de l’hôtel en plein désert :
moments inoubliables). Daniel Craig dans la peau
du personnage est décidément bien crédible et ce
film est fait pour réconcilier les fans déçus par
les successeurs du prestigieux Sean Connery. Ah
oui, à propos du titre : le film ne donne aucune
réponse et de toutes façons, il est
intraduisible, même en anglais.
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