déc. 2009
Le Kid (Charles Chaplin - 1921)
jeudi 31 décembre 2009 Vu dans : Télévision
La ruée vers l'or (Charles Chaplin - 1925)
jeudi 31 décembre 2009 Vu dans : Télévision
Out of Africa (Sydney Pollack - 1986)
mercredi 30 décembre 2009 Vu dans : Télévision
Police Python 357 (Alain Corneau - 1977)
mardi 29 décembre 2009 Vu dans : Télévision
Joue-la comme Beckham (Gurinder Chadha - 2002)
lundi 28 décembre 2009 Vu dans : Télévision
Jumanji (Joe Johnston - 1995)
jeudi 24 décembre 2009 Vu dans : Télévision
Un film très original où un
jeu de l’oie diabolique déclenche des
catastrophes. Les joueurs doivent absolument
terminer la partie en échappant à ces pièges. Il
en résulte un suspense haletant, même si le
réalisateur prend délibérément le parti de la
comédie et qu’on sait d’avance qu’il n’arrivera
rien de fâcheux au héros, un peu comme dans les
« Gremlins ». A noter que Joe Johnston
a participé à de nombreux films comme superviseur
des effets visuels (notamment la première saga de
la « Guerre des étoiles ») et que ces
effets sont très spectaculaire dans ce film bien
qu’on ait fait beaucoup mieux depuis.
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Un Indien dans la ville (Hervé Palud - 1994)
jeudi 24 décembre 2009 Vu dans : Télévision
Ocean's twelve (Steven Soderbergh - 2004)
jeudi 10 décembre 2009 Vu dans : Télévision
Casino Royale (Martin Campbell - 2006)
dimanche 06 décembre 2009 Vu dans : Télévision
Mémoire de nos pères (Clint Eastwood - 2006)
jeudi 03 décembre 2009 Vu dans : Télévision
Ce film n’est pas un film de
guerre, mais un film SUR la guerre. Il est
intelligemment articulé autour de cette
photographie légendaire du lever d’un drapeau sur
un point culminant de la petite île d’Iwo Jima.
D’un côté, Clint Eastwood nous montre la guerre,
moche, sale, répugnante avec des images chocs de
mort et de souffrance. Les images les plus
terribles ne sont d’ailleurs pas les plus gores,
mais celles où des soldats voient leurs camarades
mourir dans leurs bras. De l’autre, il nous
montre la récupération politique d’un événement
pour redonner à l’opinion lasse de cette guerre
l’envie de continuer et d’en finir. Les héros
sont fatigués. Ils n’en peuvent plus de ces
massacres autant que de la vacuité des autorités
qui ne savent plus comment terminer ce conflit.
On sait qu’à la suite de cette bataille féroce,
la première sur le sol japonais, les états-unis
ont pris la mesure des difficultés qui les
attendaient dans les mois, voire les années à
venir et que l’opinion cèderait avant d’en
terminer avec encore plus de larmes et de sang.
C’est cette prise de conscience qui a motivé
l’utilisation de l’arme atomique. La mise en
scène est remarquablement intelligente, les héros
fêtés par le peuple se rappelant les heures
terribles qu’ils ont passées sur ce bout de terre
noire et malodorante. Et les acteurs sont tout
aussi formidables, en particulier Adam Reach dans
le rôle d’un indien, le plus américain de ces
héros, par le sol, mais qui ne supportera pas la
mascarade qu’on cherche à lui imposer.
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