juil. 2009

Harry Potter et Le Prince de sang mêlé (David Yates - 2009)

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Comme prévisible, cet opus est moins spectaculaire (encore que...). En vue de l’affrontement final, chaque camp fourbit ses armes et compte ses partisans. Le film se veut donc plus intimiste et c’est l’occasion de se recentrer sur les personnages et de divulguer secrets et serments inviolables. Pour éviter le pot-au-noir, le réalisateur nous offre une séquence inédite de l’attaque d’un pont londonien par les mangemorts, fort réussie au demeurant; par contre, il élude le combat homérique entre Harry Potter et ses amis et les partisans de Voldemort meurtriers de Dumbledore. Entre ces deux scènes, on rit beaucoup malgré noirceur ambiante. On est ému aussi des émois de nos héros dont les acteurs ont bien mûri et se révèlent bon comédiens (Emma Watson et Tom Felton en particulier) . La réalisation de David Yates a pris la mesure du projet et semble bien rodée à présent. La séquence où Dumbledore et Harry Potter retrouvent l’un des horcruxes est à ce titre tout à fait exceptionnelle. On attend avec impatience le final grandiose.

Willow (Ron Howard - 1988)

Willow
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Les randonneurs (Philippe Harel - 1997)

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Cette comédie douce-amère est véritablement portée par Benoît Poelvoorde et Karin Viard, tout simplement exceptionnels. Le réalisateur nous offre de très belles images de l’île de beauté qui mérite ainsi son nom.

L'espion qui m'aimait (Lewis Gilbert - 1977)

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Un très bon James Bond, plein d’humour et d’action, mais sans la sempiternelle poursuite sans intérêt dont on nous affuble généralement dans la série avec Roger Moore. Ici, tout est minutieusement mis en place, sans temps mort. La séquence finale à bord du pétrolier est particulièrement réussie. A noter le clin d’oeil à Laurence d’Arabie, marqué par un emprunt à la musique de ce film.

Pretty Woman (Garry Marshall - 1990)

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Cette bluette hollywoodienne est devenue une référence cinématographique, grâce à Julia Roberts qui tire merveilleusement bien son épingle du jeu. Richard Gere n’est pas en reste même si son rôle de garçon désabusé le met un peu en retrait.

Le Roi Arthur (Antoine Fuqua - 2005)

Le roi Arthur
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Peur sur la ville (Henri Verneuil - 1975)

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Un film d’action taillé sur mesure pour Belmondo. Tout est réglé avec une grande précision dans la mise en scène de Verneuil et très bien servi par un scénario en béton, sans aucune scène caricaturale. Il est amusant en voyant un film de cette époque d’y retrouver des témoignages de la vie dans Paris : le RER qui s’arrêtait à Auber (et sa gare toute neuve), Les galeries Lafayette, les immeubles neufs du XVe, etc...

Le Cinquième Élément (Luc Besson - 1996 )

Le cinquième élément

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