sept. 2006

Code Mercury (Harold Becker - 1997)

Code Mercury
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Spider-Man (Sam Raimi - 2002)

Spider-Man
Pas de temps morts. Un film idéal pour une bonne soirée cinéma.
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Un jour sans fin (Harold Ramis - 1993)

Un jour sans fin
Que ferions-nous si nous devions recommencer et recommencer encore la même journée, surtout sachant qu'on doit la débuter par quelque chose de déprimant ? Chercherions-nous à en apprendre le plus possible sur les autres gens pour les aider ou pour les abuser ? Tel est le thème très original de ce film très drôle et très émouvant à la fois. Bill Murray et Andie MacDowell, tous deux épatants, sont les acteurs de ce conte particulièrement réussi.

Présumé innocent (Alan J. Pakula - 1990)

presume-innocent
Dans ce film plutôt bien fait, deux événements se télescopent : un meurtre et l'élection du procureur général avec son lot de magouilles, pots-de-vin et compromissions. Cela pourrait rendre le sujet vraiment plus intéressant si les aspects politiques n'étaient pas aussi confus. Résultat : on s'y perd un peu et il faut attendre le procès pour qu'enfin les choses sortent de l'ornière. Harrison Ford est excellent comme d'habitude et Bonnie Bedelia est pathétique en épouse bafouée.

Body double (Brian de Palma - 1984)

Body double
Brian de Palma est un réalisateur hors-normes et il le prouve encore ici. Et le moins qu'on puisse dire, c'est qu'il est très surprenant. L'intrigue parfaitement maîtrisée n'est en fait qu'un prétexte pour illustrer un pur fantasme et il y réussit parfaitement. Melanie Griffith y joue un rôle relativement modeste mais on la retrouve toujours avec plaisir.

Une hirondelle a fait le printemps (Christian Caron - 2001)

Une hirondelle a fait le printemps
Voilà un genre de film que très peu d'américain est capable de faire. La sensibilité et l'émotion qui s'en dégage grâce au talent des immenses comédiens que sont Mathilde Seigner et Michel Serrault ne sont pas à la portée des ahuris et autres va-t'en-guerre.

Souvenirs de l'au-delà (Brett Leonard - 1994)

Souvenirs de l'au-delà
On est tout de même un peu surpris au début par les images psychédéliques qui donnent l'affreuse sensation qu'on est en train de regarder un nanar. Surtout à la deuxième reprise quand on voit les mêmes images avec des couleurs différentes pour marquer l'opposition entre enfer et paradis. Et puis, le thriller prend le dessus et nous tient en haleine grâce à l'excellent Jeff Goldblum. A la fin du film, on se prend à nouveau à craindre le pire, mais bon, le plus dur est passé.

Wolf (Mike Nichols - 1994)

Wolf
Le thème de ce film - les loup-garous - n'est pas spécialement original, mais il est particulièrement bien traité par le réalisateur et surtout interprété de manière très convaincante par Jack Nicholson. Le scénario nous tient en haleine au rythme d'une très bonne musique, très efficace, du maestro Ennio Morricone. Un très bon film de genre.

Cyrano de Bergerac (Jean-Paul Rappeneau - 1990)

Cyrano de Bergerac
La véritable gageure de ce film est d'avoir réussi à faire oublier qu'il s'agit d'une pièce de théâtre en vers. La mise en scène et le jeu des personnages sont d'une dynamique irréprochable qui met parfaitement en valeur la magnificence de l'oeuvre d'Edmond Rostand. Je reproche souvent à Depardieu d'être trop théâtral dans ses films, comme par exemple dans "Le dernier métro", mais là, il est tout simplement magistral.

Maigret et l'affaire Saint-Fiacre (Jean Delannoy - 1959)

Maigret et l&dacos;affaire Saint-Fiacre
L'un des meilleurs Maigret de Simenon et l'un des meilleurs Maigret au cinéma avec l'un des meilleurs acteurs français de l'époque. Voilà qui aurait de quoi nous réjouir si le sujet n'était pas aussi dramatique. Maigret s'en veut de ne pas avoir empêché un crime et sa colère tout autant contre lui-même sourde tout au long du film pour finir par éclater avec la vérité. Magnifique interprétation de Jean Gabin. Mise en scène impeccable.

Le cave se rebiffe (Gilles Grandier - 1961)

Le cave se rebiffe
Le cinéma français des années 60 s'est fait une spécialité toute particulière des films de gangsters, plus bêtes que méchants. Ces films sont généralement servis par de très bons acteurs et des dialogues truculents (Audiard). Celui-là ne déroge pas à la règle et on passe un bon moment sans prétention.

La mariée était en noir (François Truffaut - 1968)

La mariée était en noir
Jeanne Moreau est sublime dans ce rôle de Diane vengeresse impitoyable. Les autres acteurs sont trop bavards comme d'habitude dans les films de Truffaut (en particulier au tout début du film). Passé donc le premier acte, le film s'épanouit vraiment et on ne décroche plus jusqu'au final.

Impitoyable (Clint Eastwood - 1992)

Impitoyable
Clint Eastwood a largement démontré qu'il est à la fois un très grand acteur et un réalisateur de talent. Il a largement au succès des westerns du temps de la vague Morricone, mais là il aborde le genre sous un angle beaucoup plus dramatique en mettant en scène de vieux pistoleros sur le retour, ce qui donne au film un ton très particulier. La violence (gratuite) est très présente, mais elle est parfaitement maîtrisée, dosée et le résultat est un film magnifique.

Le Cinquième Élément (Luc Besson - 1996 )

Le cinquième élément
Ce film est une véritable bande dessinée au cinéma, mais le résultat est un thriller futuriste des plus jouissifs. On aime y retrouver Bruce Willis très en forme en lutte contre les méchants. Et le ton général étant plutôt à la dérision, on savoure les dialogues et les situations pleines d'humour. A noter que le film débute comme un vrai bon film de S.F. et dès que Chris Tucker entre en scène, tout dérape vers le grand burlesque.

Le journal de Bridget Jones (Sharon Maguire - 2001)

Le journal de Bridget Jones
Ce pastiche de "Orgueil et Préjugés" est vraiment très drôle et la performance de Renée Zellweger est particulièrement remarquable.