Daniel Craig

Casino Royale (Martin Campbell - 2006)

Casino Royale
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Casino Royale (Martin Campbell - 2006)

Casino Royale
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Casino Royale (Martin Campbell - 2006)

Casino Royale
Pas de doute, il le fait. Daniel Craig est un James Bond exceptionnel et il renouvelle un genre qui s'était fourvoyé dans des scènes d'action invraisemblables et des scénarios trop accessoirisés. De l'action, il y en a bien sûr, mais elle est maîtrisée et ne constitue pas l'essentiel du film. Il y a aussi l'humour légendaire du personnage qui s'était perdu petit à petit après la période Sean Connery. Le héros est ici un personnage débutant, donc fragile et parfois défaillant, mais c'est aussi ce qui en fait le charme. Quelques scénes seront certainement reprises dans les anthologies.

Les sentiers de la perdition (Sam Mendes - 2002)

Road to Perdition
Un film sur les gangsters aux états-unis dans les années 1930, un de plus pourrait-on dire, mais celui-là sort vraiment de l'ordinaire. Ce n'est pas une biographie d'un gangster connu, ni l'éternel combat du bien et du mal avec d'un côté les méchants gangsters et de l'autre les gentils policiers incorruptibles. Ici, pas de policier - ou si peu - rien que des gangsters qui s'entre-tuent pour éviter d'autres représailles. Mais le propos est ailleurs, dans la lutte sans merci que doivent se livrer deux pères pour sauver leur fils. Et les rapports humains entre ces personnages sont la clé de voûte et assurent le succès de ce film magnifique. Tom Hanks et Paul Newmann sont décidément de très grands acteurs.

Les sentiers de la perdition (Sam Mendes - 2002)

Road to Perdition
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Casino Royale (Martin Campbell - 2006)

Casino Royale
Film visionné à partir d'un DVD Blue-Ray en HD lu sur une PS3 et projeté sur un écran LCD Sharp de 42 ". Eh bien, franchement, je ne vois pas de différence par rapport à un "simple" DVD. Peut-être une question de réglages ou bien faut-il un équipement encore plus sophistiqué. Mais quand le film est bon, peu importe les conditions de visionnage finalement.
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Casino Royale (Martin Campbell - 2006)

Casino Royale
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Quantum of Solace (Marc Forster - 2008)

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Quantum of Solace (Marc Forster - 2008)

quantum-of-solace
Pour la première fois, un James Bond reprend là où l’histoire s’était arrêtée lors du précédent épisode. Car notre héros ne compte pas en rester là - au grand dam de ses supérieurs qui ne le contrôlent pas - et il s’attaque à une organisation qui rappelle le Spectre des anciens opus. Dès lors, la machine aux morceaux de bravoure est lancé dès le début et elle n’est pas prête de s’arrêter (ne pas rater la course poursuite en avion ni la désintégration de l’hôtel en plein désert : moments inoubliables). Daniel Craig dans la peau du personnage est décidément bien crédible et ce film est fait pour réconcilier les fans déçus par les successeurs du prestigieux Sean Connery. Ah oui, à propos du titre : le film ne donne aucune réponse et de toutes façons, il est intraduisible, même en anglais.

Les sentiers de la perdition (Sam Mendes - 2002)

Road to Perdition
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Casino Royale (Martin Campbell - 2006)

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Les sentiers de la perdition (Sam Mendes - 2002)

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Quantum of Solace (Marc Forster - 2008)

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Elizabeth (Shekhar Kapur - 1998)

En voyant ce film, on ne peut s’empêcher de penser à la série TV des Tudor. Cet engouement pour la grande époque de Henry VIII et Elizabeth 1er montre que ces deux monarques ont vraiment marqué leur époque, beaucoup plus que tout autre qui leur ont succédé. Ces oeuvres cinématographiques montrent également à quel point l’époque était d’une sauvagerie inimaginable. On peut rapprocher ces évocations de celles des règnes de François 1er à Henri III en France qui a culminé avec l’horreur de la Saint-Barthélémy (cf ”La Reine Margot”). Les début difficiles du règne de Elizabeth 1er sont particulièrement édifiants sur la lutte pour un pouvoir absolu. Mais dès lors qu’elle a fait preuve de l’autorité nécessaire, elle a pu régner pendant très longtemps, donnant à l’Angleterre à peine sortie de la guerre de cent ans, la stature de très grande puissance économique et politique. La mise en scène du film est très dynamique, malgré quelques effets ”spéciaux” un peu ridicules et les acteurs sont tous formidables, Cate Blanchett en tête. Une mention toute particulière pour Vincent Cassel dans le rôle du duc de Guise, personnage que les scénaristes ont imaginé particulièrement dépravé.