mai 2009

Michou d'Auber (Thomas Gilou - 2005)

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Excellent film sur un fond d’Histoire douloureuse qui ne tombe pas dans le piège de la dénonciation des événements, mais se contente de raconter une très belle histoire d’amour et de tolérance dans un contexte difficile. Gérard Depardieu est parfait de justesse en donnant la réplique à Nathalie Baye.

Les sentiers de la perdition (Sam Mendes - 2002)

Road to Perdition
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Kingdom of Heaven (Ridley Scott - 2004)

Kingdom of heaven
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Bienvenue à Gattaca (Andrew Niccol - 1998)

Bienvenue à Gattaca

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Le journal de Bridget Jones (Sharon Maguire - 2001)

Le journal de Bridget Jones
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Vous avez un message (Nora Ephron - 1998)

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Anges et démons (Ron Howard - 2009)

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Après l’ « Opus Dei », Ron Howard met en scène les « Illuminati ». Nous sommes toujours dans l’obscurantisme des sectes chrétiennes, mais ici, le propos est de s’en prendre aux plus hautes autorités vaticanes. Et il faut reconnaître que le sujet a beaucoup plus inspiré le réalisateur qui nous donne ainsi un film moins savant, moins intellectuel avec beaucoup plus de scènes spectaculaires et remarquablement mises en scène avec l’aide précieuse d’effets spéciaux très réussis (ainsi, la scène de l’explosion finale est d’une richesse pyrotechnique tout simplement inouïe). La recherche des « Preferati » entrepris par le professeur Langdon et la police vaticane n’est plus une quête mais un véritable compte à rebours pendant toute la durée du film qui correspond d’ailleurs au temps réel qui passe. Il en découle un suspense insoutenable grâce à un découpage cinématographique très dynamique. Que ceux qui ont pu être déçus par Da Vinci Code aillent voir ce film : ils seront réconciliés avec le genre.

Meurtre parfait (Andrew Davis - 1998)

Meurtre parfait
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Mystic River (Clint Eastwood - 2003)

Mystic River
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Bienvenue chez les Ch'tis (Dany Boon - 2008)

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Ce film est taillé pour être le film culte qu’il est devenu. Dialogues et situations sont désopilants, avec des accents de « Dîner de cons » pour ses réparties verbales. On retrouve également les films où Bourvil faisait le pitre à merveille (il a montré qu’il savait faire des rôles plus sérieux). Line Renaud est surprenante dans le rôle d’une mère Ch’ti et elle dénote quelque peu. N’oublions pas qu’elle est née dans ce pays, à Armentière, et donc sa présence est légitime, mais elle a trop de classe pour figurer ici. C’est comme Michèle Morgan ou Carole Bouquet qui ont joué des rôles qui ne leur correspondaient pas. Galabru est au contraire immense malgré la brièveté de sa scène.

Le Nouveau Monde (Terrence Malick - 2006)

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L’histoire de Pocahontas, sans les niaiseries de Disney. Malgré quelques scènes de violences entre colons et indiens, le film est tout en poésie et douceur, marqué par des dialogues en voix off qui évitent l’écueil des bavardages. Le tout sur une très belle musique de James Horner qui rappelle Mozart et Wagner. C’est Mozart et Wagner qu’on entend ? Ah, ok, je comprends mieux.

Quantum of Solace (Marc Forster - 2008)

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La Grande Evasion (John Sturges - 1963)

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Ce film est d’abord destiné à réunir une pléiade d’acteurs sur un scénario où les comportements héroïques les mettent en valeur, la deuxième guerre mondiale constituant une réserve inépuisable de sujets (voir Le jour le plus long, La Bataille d’Angleterre, Midway, etc...). Les acteurs en question étant généralement de bons comédiens, le résultat est à la hauteur des moyens mis en oeuvre.

Le bonheur est dans le pré (Etienne Chatillez - 1995)

Le bonheur est dans le pré
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Ludwig van B. (Bernard Rose - 1995)

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La vie privée de Beethoven est mal connue, mais on sait qu’il n’a eu que des relations éphémères avec des femmes généralement mariées. L’idée qu’il ait pu nourrir une passion absolue pour sa belle-soeur et plus encore que son neveu ait pu être son propre fils est absolument grotesque. C’est pourtant la ligne directrice de ce film. Par ailleurs, il est faux de prétendre que Beethoven ait été sourd toute sa vie. La surdité totale n’est apparue qu’en 1820 et jusqu’alors, Beethoven était un remarquable interprète. Mais peu importe, car le résultat est un film bien fait et les acteurs sont convaincants pour nous entraîner dans la vie tumultueuse du Grand Maître.