Bourvil

Le Cercle Rouge (Jean-Pierre Melville - 1970)

Le Cercle Rouge
Tous les ingrédient d'un bon film sont réunis : metteur en scène inspiré, très bon scénario, acteurs au delà de tout éloge. Une mention toute spéciale pour Bourvil dans son dernier rôle et qui fait ici une prestation extraordinaire. Magnifique Montand également, notamment dans le scène du placard. Souvent, dans ces cas-là, le résultat est mitigé. Pas dans ce vrai chef d'oeuvre du cinéma, tous genres confondus. Toutes les scènes sont d'anthologie et pour une fois, Alain Delon ne meurt pas en en faisant des tonnes. Mais non, je ne dévoile rien : Alain Delon meurt dans tous ses films... ou presque.

Fortunat (Alex Joffé - 1960)

Fortunat
La guerre a pour conséquence de supprimer bon nombre de barrières sociales. Mais dès qu'elle est terminée, les anciennes habitudes reprennent le dessus. C'est la mésaventure qui survient à Fortunat joué par le formidable Bourvil aux côtés de la non moins sublime Michèle Morgan. A eux-deux, ils portent ce magnifique film au rang de chef-d'oeuvre.

Le Bossu (André Hunnebelle - 1959)

Le Bossu
L'un des meilleurs films de cape et d'épée avec un excellent Jean Marais, très en forme, Bourvil qu'on retrouve toujours avec plaisir et François Chaumette en vrai méchant, fourbe et cruel. Un grand spectacle.

Le miroir à deux faces (André Cayatte - 1958)

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La réalisation est un peu « molle », mais on ne boude pas son plaisir en revoyant ces deux merveilleux comédiens dans ce drame de la jalousie : la très grande Michèle Morgan bien sûr, mais aussi Bourvil dans un rôle inattendu.

Le Capitan (André Hunebelle - 1960)

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Un bon film de cape et d'épée avec André Hunebelle aux manettes et Jean Marais à la castagne. Bourvil amène sa bonne humeur en contrepoint.