John Hurt

Indiana Jones et le Royaume du Crâne de Cristal (Steven Spielberg - 2008)

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Tout le monde l’attendait. Ils l’ont fait. Nous retrouvons avec plaisir et un peu d’inquiétude le héros de cette saga, archétype du film d’aventures. Et le résultat dépasse les espérances avec un bon scénario, même si l’introduction de forces extra-terrestres peut prêter à sourire, et de bons acteurs. Certains prédisent que Shia LaBeouf pourrrait prendre le relais d’Harrison Ford pour de nouvelles aventures. En attendant, l’ « ancêtre » est encore là et nous en profitons pleinement. Tout ce qui a construit la légende d’Indiane Jones est présent et le résultat est spectaculaire dans tous les sens du terme.

Alien, le huitième passager (Ridley Scott - 1979)

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Ce film est cultissime car il rassemble tous les ingrédients pour ça : un excellent scénario, une ambiance de claustrophobie au beau milieu de l’espace infini et surtout un monstre extraordinaire. Il n’y a pas énormément d’effets spéciaux, l’essentiel du film étant construit autour de décors futuristes mais aussi tristement banals. Très peu d’acteurs également, ce qui renforce l’aspect tragique. Une bande son qui distille l’angoisse et la peur. Et une mise en scène impeccable de Ridley Scott. bref, tout ce qu’il faut pour aboutir à un chef d’oeuvre du genre et qui ne vieillira jamais.

Hellboy (Guillermo del Toro - 2003)

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Ce film est un savant mélange de genres avec l’aventure et l’ésotérisme des « Indiana Jones » d’un côté et les scènes d’action pleines d’humour des « 4 fantastiques » ou la série des « X-Men » de l’autre. Hellboy a un peu de « La Chose » et de « Wolverine », personnages indestructibles mais qui « morflent » dans leur chair et dans leur coeur. La lutte entre le professeur Trevor et les forces du mal font penser à celui entre humains et mutants des « X-Men ». Hellboy est un démon extirpé de son enfer et éduqué pour défendre le bien contre le mal. Les scènes où il affronte des créatures improbables sont dantesques. Elles ponctuent un récit bien mené dès le départ qui ne rendent pas les explications rasoirs ni absconses. Bref, que du plaisir.