La nouvelle version de Reunion, numérotée 9 est enfin disponible. La précédente version 8 était sortie en 2002 et cette version 9 était annoncée depuis 3 ans ! 5 ans entre ces deux versions : autant dire qu'elle était attendue avec une grande impatience.

En général, quand une nouvelle version de ce logiciel est diffusée, elle constitue un véritable feu d'artifice de nouvelles fonctions qui lui permettent une meilleure intégration au système. Malheureusement, on reste ici un peu sur sa faim. Le nouveau cru est très bien, mais il n'a rien d'exceptionnel. Les nouveautés sont essentiellement d'ordre cosmétique ou facilitent l'usage, mais rien de bien révolutionnaire.

Parmi les choses, disons intéressantes, on trouve par exemple, la colorisation des boutons selon le sexe, l'accès à des menus permettant de remonter facilement jusqu'aux ascendants supérieurs, les fenêtres multimédias qui acceptent plus de types de documents.

Par contre, il n'est toujours pas possible de lier des individus entre-eux (parrain, marraine, témoin, etc.) et les notes ne peuvent pas être enrichies d'hyperliens.

Cette version est donc légèrement décevante. Elle offre certes plus de fonctionnalités que la v8, mais avoir attendu aussi longtemps pour si peu est quelque peu frustrant.

Dans de nombreuses pages, je présente des liens vers d'autres pages développant le contenu présenté. Ces liens sont affichés dans la barre latérale.

Je trouvais ces liens pas très lisibles et je tenais à leur donner une présentation plus graphique, comme s'il s'agissait d'un menu. C'est fait.

J'ai beaucoup de compassion pour la fille d'Ingrid Bétancourt et je souhaite que sa mère soit libérée un jour. Mais, bon de là à en faire un thème majeur de la campagne électorale en France, elle pousse le bouchon un peu loin. Je suis désolé pour elle et sa famille, mais il y a des sujets plus importants à traiter et qui ne concernent pas qu'une seule personne.

Ingrid Bétancourt est certes de nationalité française, mais elle a été capturée par les FARC en tant que personnalité colombienne et parce qu'elle a pris des risques inconsidérés. Je ne vois donc pas ce que le gouvernement français peut faire de plus que tout ce qui a déjà été fait jusqu'à présent pour obtenir sa libération.

Les seuls qui peuvent vraiment faire quelque chose sont les colombiens, sous la pression internationale en général, française en particulier et c'est ce que notre gouvernement s'emploie à faire.

Depuis quelques jours, je me familiarise avec un nouveau module pour Rapid Weaver. Ce module permet de synchroniser un blog créé avec Blogger de Google et une page du site web. Celle-ci est affichée avec le thème du site tout en présentant les billets du blog, avec les catégories, les permaliens et les archives.

Le module est encore en test et ça n'est pas parfait, mais j'ai tout de même décidé de regrouper quelques une de mes pages un peu dispersées. Ainsi, ma page où je citais mes lectures, ou celle ou je commentais des émissions vues à la télévisions.

La nouvelle page est ici et mon blog sur Google ici

Jospin revient. Ainsi en a décidé Ségolène et sa clique. Et avec lui, pourquoi pas Martine la pitbull ? Tous les éléphants sont rassemblés pour tous entrer dans le magasin de porcelaine.

Si jamais elle gagne les élections, je ne donne pas jusqu'à la fin de l'année pour que le programme de campagne sombre dans l'oubli. Dans l'euphorie de la victoire, ils sont capables de nous ressortir un plan du genre 32 heures. Et la renationalisation de EDF? a-t-elle compté ça dans son programme?

Les autres candidats ne sont pas forcément plus réjouissants. Seul Sarkozy parle de remettre à plat les régimes spéciaux des retraites. Mais il ne dit pas comment il va s'y prendre. La seule méthode à mes yeux serait d'imposer à leurs bénéficiaires de les auto-financer, et pas seulement celles à venir, mais y compris pour les retraites en cours. Ca ne peut pas se faire dans la négociation ou alors, on va vers une dépense de plus de 100 milliards d'euros, certes avec un assainissement de la situation financière de ces régimes spéciaux. Cest ce que propose Charles Wyplosz dans son ouvrage "La fin des privilèges".