J'essaie en vain de contacter les services techniques de NOOS. Soit ils ne répondent pas, soit ils m'ont fait poireauter sans me donner d'explication. Au prix où me coûte ces appels, je ferai mieux d'investir dans une autre solution plus radicale.

En fait, j'ai hésité entre "La boutique du Leica", avenue Beaumarchais, et Mac Mahon Photo, avenue Mac Mahon, deux spécialistes du Leica de Paris. Tous les deux le proposent au même prix de 600 €, mais Mac Mahon Photo m'annonce un délai plus court.

Depuis quelques jours, je ne peux plus accéder par ftp à mes espaces personnels chez NOOS, ou alors très difficilement. L'accès ftp me permet de mettre à jour mon site web. Si ça dure plus longtemps, il faudra que j'essaie de contacter les services techniques de l'opérateur.

A la lecture des revues ou des sites web spécialisés, le Panasonic Lumix DMC-LX2 semble être l'un des meilleurs compacts du moment. L'ensemble de l'appareil est signé Panasonic à part l'objectif qui porte la griffe de Leica. Mon choix semblait désormais clair et en plus, il n'est pas très cher (450 € environ) et facile à trouver dans bon nombre de magasins ou de sites marchands sur le web. Et puis, au hasard de la lecture d'un forum internet, j'entends parler d'un modèle équivalent entièrement signé Leica. Il est sensiblement plus cher que le Panasonic, mais encore dans mes prix (600 €). A priori, le panasonic est un clone du Leica, mais rien n'est moins sûr. Par contre, il présente des différences : aspect extérieur très légèrement revu, firmware (le logiciel interne, notamment du traitement de l'image) récrit par Leica. Et puis, le Leica est fourni avec une carte mémoire de 64 Mo (contre 13 Mo pour le Panasonic) et le logiciel Photoshop Elements. Bon, ça ne justifie pas complètement la différence de prix, mais mon rêve de posséder un appareil de cette marque prestigieuse prend désormais corps et je me décide finalement pour ce choix.

Je reviens d'un déplacement professionnel à Pozuelo de Alarçon, près de Madrid. Le nouvel aéroport est gigantesque (je veux parler de l'aérogare). Il faut dire, qu'ils ont de la place dans cette région : les paysages lunaires ne regorgent pas de végétation. Les espagnols ne se privent alors pas de construire des logements, des ensembles de bureaux, des autoroutes et ... des aéroports. Ca pousse comme des champignons. Par contre, je me demande bien où ils vont chercher toute l'eau nécessaire à cette population. A Pozuelo, j'ai vu un grand chapiteau où, m'a-t-on expliqué, les gens peuvent venir y acheter des santons pour garnir des crèches de Noël. Car, là-bas, les gens n'installent pas de sapin, qui est plutôt une coutume des pays du nord. A Noël, la reine de la fête, c'est la crèche.