On entend souvent dire que droite ou gauche, ça ne fait finalement pas beaucoup de différence. Eh bien moi, pour l'élection présidentielle en tout cas, j'en vois une fondamentale : Les candidats à gauche sont des candidats qui se disent contre la droite au lieu de dire qu'ils se veulent rassembleur du peuple français. Sachant que la moitié en gros des électeurs ne vote pas pur l'un d'eux, cela signifie que la gauche ne se préoccupe que de son électorat. Les autres peuvent aller se faire voir. Ils se présentent comme les défenseurs d'un électorat de privilégiés bobos qui s'arqueboutent sur leur acquis. C'est bien la raison pour laquelle les milieux modestes peuvent voter à droite. Quant à l'extrême gauche, Verts compris, ils sont tellement crétins qu'ils seront toujours les dindons de la farce.

Vous avez dit ce que tout le monde chrétien pense tout bas sans oser l'avouer publiquement. Par peur. Vous avez eu ce courage, alors bravo.

Benoît XVI a certes eu des propos difficiles à tenir dans le contexte actuel, citant un texte du XIIe siècle qui stigmatise quelque peu l'islam en lui reprochant sa volonté d'imposer ses préceptes par la violence. Par le passé, toutes les religions ont agi ainsi et ça fait partie de l'histoire des civilisations; on ne peut pas revenir dessus ni le reprocher aux générations actuelles. Il existe même des lois qui empêche cela dans certains pays. Par contre, certains musulmans continuent de prôner cette violence au nom de leur jihad de merde et pour ça, Benoît XVI a raison dans ses propos. Ces musulmans ne respectent rien et ne peuvent prétendre au paradis auquel ils aspirent. Qu'ils s'entre-tuent comme en Irak et qu'ils nous foutent la paix. On est bien plus tranquille sans eux.

Le clivage droite/gauche est une invention de politiciens dont le seul but est de mettre leurs propres échecs sur le dos du dernier gouvernement en place. Il est ahurissant d'entendre certains propos actuels certifiant que les plus gros problèmes de notre société ne se poseraient pas s'ils étaient aux affaires. Sous-entendu : il suffit qu'ils reviennent au pouvoir pour que les choses s'arrangent grâce à un immobilisme révolutionnaire qui est la clé de tout. Et si ça ne marche pas, c'est donc encore de la faute du précédent gouvernement dont les actions ont eu un résultat encore pire qu'annoncé.

Probablement le meilleur roman de Marc Levy. Les personnages sont à la recherche d'un tableau mythique à travers les âges. Ils doivent se trouver s'ils ne veulent pas se perdre pour l'éternité. Et leur rencontre donne lieu à une merveilleuse histoire d'amour contrecarrée par quelque âme noire. Les descriptions de l'auteur sont tellement précises qu'ont peine à croire que le peintre en question n'a en fait jamais existé. Et comme d'habitude, le ton est résolument humoristique, mais à bon propos.