Ralph Fiennes
Les Hauts de Hurlevent (Peter Kosminsky - 1992)
jeudi 08 mai 2008 Vu dans : DVD / K7
Harry Potter et Le Prince de sang mêlé (David Yates - 2009)
dimanche 26 juillet 2009 Vu dans : Cinéma
Comme prévisible, cet opus
est moins spectaculaire (encore que...). En vue
de l’affrontement final, chaque camp fourbit ses
armes et compte ses partisans. Le film se veut
donc plus intimiste et c’est l’occasion de se
recentrer sur les personnages et de divulguer
secrets et serments inviolables. Pour éviter le
pot-au-noir, le réalisateur nous offre une
séquence inédite de l’attaque d’un pont londonien
par les mangemorts, fort réussie au demeurant;
par contre, il élude le combat homérique entre
Harry Potter et ses amis et les partisans de
Voldemort meurtriers de Dumbledore. Entre ces
deux scènes, on rit beaucoup malgré noirceur
ambiante. On est ému aussi des émois de nos héros
dont les acteurs ont bien mûri et se révèlent bon
comédiens (Emma Watson et Tom Felton en
particulier) . La réalisation de David Yates a
pris la mesure du projet et semble bien rodée à
présent. La séquence où Dumbledore et Harry
Potter retrouvent l’un des horcruxes est à ce
titre tout à fait exceptionnelle. On attend avec
impatience le final grandiose.
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Harry Potter et La coupe de feu (Mike Newell - 2005)
vendredi 02 juin 2006 Vu dans : DVD / K7
Après le cinéma, le DVD
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Harry Potter et La coupe de feu (Mike Newell - 2005)
dimanche 04 décembre 2005 Vu dans : Cinéma
Après chaque nouvel épisode,
je me demande comment ils vont réussir à faire au
moins aussi bien pour le prochain. Et à chaque
fois, je suis bluffé; chaque fois, je suis encore
plus emballé par ce que je viens de voir. Bien
sûr, cette fois ils ont dû vraiment trancher dans
le vif pour loger l'histoire en 2 heures 30, mais
qu'importe : le résultat est vraiment
exceptionnel et enthousiasmant. L'ambiance de
plus en plus sombre des films (sensation qu'on
n'éprouve pas à la lecture des livres) est
finalement parfaitement justifiée par le
traitement cinématographique et elle n'empêche
nullement les scènes plus cocasses, voire drôle.
Le seul reproche qu'on puisse faire, c'est le
doublage des films en français, un peu limite.
Mais ça ne m'empêche pas d'apprécier cette saga
et d'attendre avec impatience la suite (on
commencera par la sortie en DVD).
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Harry Potter et L'Ordre du Phénix (David Yates - 2007)
samedi 12 janvier 2008 Vu dans : DVD / K7
Le Patient anglais (Anthony Minghella - 1996)
dimanche 11 mai 2008 Vu dans : Télévision
Les Hauts de Hurlevent (Peter Kosminsky - 1992)
mercredi 26 décembre 2007 Vu dans : DVD / K7
Bien sûr, il y a l'inégalable
référence avec Laurence Olivier où le roman très
sombre et surnaturel d'Emily Brontë bénéficie du
traitement en noir et blanc. Mais cette
interprétation par la magnifique Juliette Binoche
- décidément une très grande actrice -et le jeu
sombre et malfaisant de Ralph Fiennes donnent à
ce film une grande force narrative.
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Le Patient anglais (Anthony Minghella - 1996)
dimanche 10 février 2008 Vu dans : Télévision
Un drame, une histoire
vraiment triste, mais les comédiens sont
formidables - Kristin Scott Thomas en tête - et
la mise en scène est excellente, avec de très
belles séquences dans le désert (découverte de la
grotte des nageurs, tempête de sable). On suit
très facilement le déroulement de l'histoire dont
le récit est essentiellement basé sur des retours
dans le passé et cette fluidité rend le film
particulièrement agréable.
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La liste de Schindler (Steven Spielberg - 1993)
dimanche 18 janvier 2009 Vu dans : Télévision
On a peut-être tellement déjà
dit, montré, filmé sur la Shoah, que Spielberg
l’évoque sous un aspect original - mais de
manière tout autant convainquante - en racontant
l’épopée de quelques juifs sauvés de l’holocauste
par un industriel allemand. Cet industriel -
Schindler, c’est lui - est au départ un
personnage cynique qui espère bien faire fortune
aux dépends des juifs polonais et avec la
complicité des autorités allemandes. Peu à peu,
il va prendre conscience de ce que subissent ces
pauvres gens et lorsque la solution finale
apparaîtra comme la seule option, il fera tout ce
qu’il pourra, engageant sa fortune si mal
acquise, pour en sauver 1000. C’est effectivement
une goutte dans l’océan de la Shoah, mais comme
le dit un rabbin à la fin du film : une vie de
sauvée, c’est le monde qu’on sauve. Schindler y
gagnera le titre de « Juste ». Le film
est absolument remarquable. Il a été filmé en
noir et blanc pour renforcer l’effet dramatique
et permet des effets d’une force incroyable :
dans un scène, une fillette cherche à échapper au
massacre annoncé du ghetto de Cracovie et son
manteau est colorisé; cela permet de la suivre en
arrière plan en quête d’un abri improbable; on la
retrouvera malheureusement parmi les victimes
enterrées dans un charnier puis exhumées pour
être brûlées. Le film est truffé de scènes choc
et sans concession. Comme ce commandant du camp
de travail qui tire au hasard sur les bagnards
simplement pour passer le temps. A un moment, on
croit qu’il va comprendre ce que lui dit
Schindler sur le vrai pouvoir, celui de se
montrer clément, mais il se persuadera rapidement
qu’il n’en tire aucun avantage; au contraire,
cela heurte sa conscience. Il finira pendu sans
aucun remord. Une autre scène d’une force
extraordinaire est celle de ces femmes juives qui
se retrouvent par erreur à Auschwitz. Elles
savent ce qui attend d’ordinaire les juifs qui y
sont amenés et lorsqu’elles doivent passer sous
la douche, une vraie, la certitude que leur
dernière heure est arrivée rend la scène aussi
édifiante que si le réalisateur avait montré la
réalité sordide. Et que dire de cette rue pavée
des dalles prises dans le cimetière juif de
Cracovie. Le film trouve dans ces moments un sens
auquel seul un chef d’oeuvre peut prétendre.
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The constant Gardener (Fernando Meirelles - 2004)
dimanche 14 juin 2009 Vu dans : Télévision
Le sujet est grave et
approprié pour un vrai drame, surtout quand il
est aussi bien servi par d’excellents acteurs. Si
on croit en l’humanité, on peut se convaincre que
le complot est déjoué malgré tout. Dans le cas
contraire, il y a de quoi se suicider au vu de ce
que le profit peut engendrer d’innommable. Ces
aspects politico-diplomatico-financiers sont du
reste un peu ennuyeux mais nécessaires. On se
raccroche alors aux flash-back sur la relation
entre Justin et Tessa (Ralph Fiennes et Rachel
Weisz), temps du bonheur perdu ou retrouvailles
dans un presque au-delà. Et on admire les très
belles vues sur l’Afrique kenyane.
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Harry Potter et L'Ordre du Phénix (David Yates - 2007)
samedi 04 août 2007 Vu dans : Cinéma
Il aura fallu attendre la fin
du quatrième opus pour que tout soit bien en
place et que les choses sérieuses débutent enfin.
Nous avions eu droit à un mémorable duel qui
clôturait "La
coupe de feu". Ici, tout va crescendo
jusqu'à la bataille titanesque dans les
couloirs du ministère de la magie. La trame du
livre est bien respectée malgré les
inévitables coupures inhérentes à une
adaptation au cinéma. Les personnages ne sont
plus des enfants et ils prennent de véritables
initiatives au lieu de subir la loi des
adultes. L'intérêt déjà grand pour cette saga
s'en trouve renforcé. Le prochain opus sera
sans doute moins spectaculaire mais plus
sombre encore et plus onirique. Le final
promet d'être tout simplement grandiose.
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