Georges Lucas

Star wars, épisode III : La revanche des Siths (Georges Lucas - 2005)

Star wars : La revanche des Siths
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Star wars, épisode II : L'attaque des clones (Georges Lucas - 2002)

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Après un premier épisode sans vraie ampleur, le réalisateur passe la 2e et le résultat est bien meilleur. Anakin Skywalker est devenu adulte et tourmenté. C’est là, quand il venge la mort de sa mère qu’il bascule du côté obscur de la Force. Son habillement s’assombrit et il ne retient plus sa colère. Le troisième épisode ne sera que la conclusion inéluctable de cette évolution et le trait d’union avec la première saga.

Star wars, épisode III : La revanche des Siths (Georges Lucas - 2005)

Star wars : La revanche des Siths
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Star wars, épisode III : La revanche des Siths (Georges Lucas - 2005)

Star wars : La revanche des Siths
C’est l’épisode de toutes les révélations qui vont donner du corps à la première saga. Anakin bascule totalement du côté obscur et devient un seigneur Sith sous le nom désormais célébrissime de « Darth Vador ». Les effets spéciaux sont tout simplement extraordinairement maitrisés (voir par exemple la scène d’ouverture où des vaisseaux spatiaux s’affrontent bord à bord comme un bateau pirate prenant un galion à l’abordage). Les combats sont aussi formidablement orchestrés. Bref, le meilleur épisodes des six qui composent désormais cette saga digne de sa légende.

Star wars, épisode IV : Un nouvel espoir (Georges Lucas - 1977)

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Premier volet d’une saga cinématographique dont le retentissement fut sans commune mesure avec tout ce qui a pu la précéder ou même la suivre. Il y a avant et après « Star Wars ». Ce tout premier épisode doit trouver ses marques et les épisodes suivants seront plus aboutis, mais tout y est. Désormais, dès lors qu’on a vu la « suite qui précède », on se surprend à raccrocher des événements aux révélations des épisodes I à III et il faut reconnaître que Georges Lucas a très bien fait les choses; il est difficile de le prendre en défaut. Pour l’époque, les effets spéciaux sont tout à fait remarquables, essentiellement basés sur le décor ou des maquettes. Le jeu des acteurs est très honorable et il fallait y croire pour être crédible tant l’univers du réalisateur peut apparaître plutôt curieux et bizarre. A noter que malgré le fil rouge dramatique de cette histoire, la mise en scène ne manque pas d’humour; en particulier, certaines scènes en arrière-plan de l’action principale sont parfois burlesques.