Les remparts
Les remparts de la ville, datant de l'époque de
Vauban qui avait entrepris de fortifier certaines
ville près des frontières, offraient des terrains
de jeu formidables. En hiver, la neige abondante
permettait des glissades sur des luges ou même de
simples cartons.
Ballades a vélo
Boutiques en ville
Plus tard, ayant pu m'acheter un vélo digne de ce
nom, j'ai parcouru les environs avec beaucoup de
plaisirs champêtres sans être gêné par une
circulation automobile intolérable désormais. Il
m'est même arrivé de pousser jusque Avesnes ou
Mons. C'est du reste au cours de cette excursion
avec des copains que j'ai découvert les figurines
Historex dans une petite boutique de la ville.
En ville même, j'aimais beaucoup me promener et
rêver devant les vitrines de certains magasins.
Modèles réduits
Il y avait d'abord la boutique de Monsieur Davaine,
près de l'église. Il y vendait des articles pour la
maison, mais ce n'est pas ce qui m'y attirait.
Monsieur Davaine avait un rayon maquettes
plastiques plutôt bien fourni, notamment de la
marque Tamiya et comme j'étais fana de modèles
réduits, je scrutais les nouveautés qu'il pouvait
se procurer.
Il y avait trois autres magasins qui proposaient également des modèles réduits, même s'ils étaient généralement moins fournis.
Tout d'abord, le magasin de cycles avenue Jean Mabuse. Ce magasin était extraordinaire pour moi. Il vendait et réparait les vélos, c'était son activité principale et c'est chez lui que j'ai acheté tous les miens. Mais il avait aussi un rayon train miniature de la marque Jouef et aussi un rayon de maquettes plastiques de la marque Heller avec en plus le matériel pour monter et peindre ces modèles réduits. Inutile de dire que j'y étais fourré assez souvent.
L'autre magasin était un bazar comme on appelait autrefois ce genre de boutique. Il était situé près de la poste et on y trouvait de tout et aussi des modèles réduits des marques Airfix, Heller et d'autres. J'y trouvais aussi des pétards à mèches qui faisaient notre bonheur avec les copains.
Enfin, il y avait les Galeries à l'angle de l'avenue Mabuse et du Mail de la Sambre. A l'étage, dans un coin du magasin, on pouvait y trouver des maquettes de la marque Heller, mais le choix était décevant.
Il y avait trois autres magasins qui proposaient également des modèles réduits, même s'ils étaient généralement moins fournis.
Tout d'abord, le magasin de cycles avenue Jean Mabuse. Ce magasin était extraordinaire pour moi. Il vendait et réparait les vélos, c'était son activité principale et c'est chez lui que j'ai acheté tous les miens. Mais il avait aussi un rayon train miniature de la marque Jouef et aussi un rayon de maquettes plastiques de la marque Heller avec en plus le matériel pour monter et peindre ces modèles réduits. Inutile de dire que j'y étais fourré assez souvent.
L'autre magasin était un bazar comme on appelait autrefois ce genre de boutique. Il était situé près de la poste et on y trouvait de tout et aussi des modèles réduits des marques Airfix, Heller et d'autres. J'y trouvais aussi des pétards à mèches qui faisaient notre bonheur avec les copains.
Enfin, il y avait les Galeries à l'angle de l'avenue Mabuse et du Mail de la Sambre. A l'étage, dans un coin du magasin, on pouvait y trouver des maquettes de la marque Heller, mais le choix était décevant.
Desmaret et Balestries
En dehors de ces boutiques, j'aimais beaucoup
admirer la vitrine du magasin de matériel photo des
Desmaret ainsi que celle de Monsieur Balestrie,
sous des arcades, où j'ai acheté ma première chaîne
HIFI dont je possède encore les enceintes Cabasse,
absolument increvables.
Place des Nations
Ces deux magasins étaient situés dans l'avenue qui,
passant devant l'église, rejoignait la place des
Nations. Sur cette place, je me souviens
particulièrement du magasin d'articles de sports de
Monsieur Hiernaux, un ami de mon père du reste. J'y
ai fait des jobs d'été quand j'étais adolescent.
Au coin de cette place avec l'avenue Jean Mabuse, il y avait une boulangerie où j'allais souvent, seul ou avec ma mère.
De l'autre côté de cette avenue qui redescendait vers la Sambre, il y avait une toute petite boutique qu'on appelait la Civette, en fait un bureau de tabac qui vendait aussi quelques revues.
Au coin de cette place avec l'avenue Jean Mabuse, il y avait une boulangerie où j'allais souvent, seul ou avec ma mère.
De l'autre côté de cette avenue qui redescendait vers la Sambre, il y avait une toute petite boutique qu'on appelait la Civette, en fait un bureau de tabac qui vendait aussi quelques revues.
Le cinéma
A côté, le cinéma de la ville où j'ai vu tant et
tant de films avec les copains. Je me souviens
d'une grande salle avec des sièges recouvert de
velours rouge. Il y avait un balcon d'où on voyait
particulièrement bien l'écran et où nous allions
presque systématiquement.
L'avenue de France
J'allais moins souvent dans l'avenue de France,
pourtant riche de magasins très variés mais moins
intéressants à mon goût. Je me souviens pourtant
d'une boulangerie du nom de Lecluyse sur la gauche,
au bout d'un passage en contre-bas ainsi
qu'une librairie un peu plus loin sur la
droite à proximité de la place des victoires.
La Ducasse
Cette grande place accueillait régulièrement une
fête foraine, une "ducasse" comme on dit dans le
nord et où je ne manquais pas d'y dépenser quelque
argent de poche.
A proximité de cette place, il y avait une boutique du surplus américain. On y trouvait des besaces utiles pour la pêche, des gants de laine et autres articles de ce genre.
A proximité de cette place, il y avait une boutique du surplus américain. On y trouvait des besaces utiles pour la pêche, des gants de laine et autres articles de ce genre.