tag:blogger.com,1999:blog-71942523264787375712024-02-08T19:49:10.617+01:00Blog à partAlain Goubault de Brugièrehttp://www.blogger.com/profile/08111037183377717897noreply@blogger.comBlogger316125tag:blogger.com,1999:blog-7194252326478737571.post-36296845565314214762009-09-29T18:21:00.000+01:002009-09-29T18:43:47.108+01:00iPhoto : créer un livre et le faire imprimer<span class='rapidblog-summary'>iPhoto '09 a une fonction qui permet de créer un livre à partir de photographies prises dans la photothèque et propose aussi un service en ligne pour le faire imprimer.<br /></span><br />On peut démarrer la sélection avec un événement, par exemple, mais il est possible d'ajouter d'autres photographies au gré des envies. En fait, les photographies sont sélectionnées de la même façon qu'un album. De toutes façons, il n'est pas nécessaire de placer toutes les photographies et a contrario, une photographie peut-être placée plusieurs fois.<br /><br />On remplit des pages avec de une à 6 photographies dont la mise en page est définie par le modèle. Il est aussi possible d'ajouter du texte à chaque page, mais pas à chaque photographie. On peut inclure des pages de titre si vous voulez découper l'ouvrage en chapitres. Il faut aussi définir les pages de couverture (recto et verso) ainsi que les rabats de la couverture. iPhoto vous signale les photographies dont la qualité n'est pas suffisante, mais ce n'est qu'un avertissement.<br /><br />Lorsque l'ouvrage est terminé et bien vérifié (vous pouvez en faire un PDF pour imprimer une épreuve de relecture), il est temps de l'envoyer au service en ligne d'Apple. Pour ça, vous devez avoir un compte sur l'Apple Store et l'option "One Click" doit être activée. Ensuite, la commande est passée comme si vous étiez sur un site web marchand ordinaire. Prévoyez quand même un peu de temps pour télécharger le livre.<br /><br />J'ai commandé mon livre qui faisait 38 pages avec une reliure brochée. Il m'en a coûté environ 50 € auxquels il faut ajouter environ 10 € de frais de port (TTC). C'est sans doute un peu cher, mais c'est le seul moyen simple à partir de iPhoto et tout est tellement simple et facile !<br /><br />Environ une semaine plus tard, j'ai reçu l'ouvrage et je ne suis pas décu par le résultat, digne d'un vrai livre de librairie. Le colis m'a été livré par UPS. En suivant l'expédition, j'ai découvert que l'impression a été faire en Tchéquie. En voilà un que les chinois n'auront pas....Alain Goubault de Brugièrehttp://www.blogger.com/profile/08111037183377717897noreply@blogger.com87tag:blogger.com,1999:blog-7194252326478737571.post-41717173841072413152009-09-19T09:57:00.000+01:002009-10-13T18:21:32.532+01:00Déplacer son compte utilisateur avec Snow Leopard<span class='rapidblog-summary'>Ayant installé un nouveau disque dur de grande capacité, il me fallait déplacer mon compte utilisateur.<br /><br />Par défaut, les comptes utilisateurs sont situés dans le dossier /Users (présenté par le Finder comme étant nommé "Utilisateurs", mais c'est un artifice de Mac OS X). Ce dossier est donc à la racine du disque de démarrage du système.<br /></span><br />Pour déplacer ce dossier, l'une des solutions est de le remplacer par un raccourci ou mieux, un lien symbolique (à la condition de maîtriser le Terminal) et d'utiliser un compte root pour éviter que le dossier /Users soit "occupé" par un compte ouvert. Cette technique, que je ne détaillerai pas ici, peut aussi bien être utilisée pour tout le dossier /Users que pour un dossier de compte particulier à l'intérieur de celui-ci.<br /><br />Il y a en fait une autre méthode, géré par le système et donc utilisable sans risque particulier sinon de savoir ce qu'on fait. Cette méthode ne concerne pas le dossier /Users, mais le dossier du compte utilisateur qui s'y trouve.<br /><br />Bien entendu, au préalable, il faut avoir recopié son dossier utilisateur à l'endroit retenu. L'utilitaire <a href="http://www.bombich.com/" rel="external">Carbon Copy Cloner</a> est idéal pour cette tâche.<br /><br />Il sufit donc d'ouvrir le panneau de configuration des "Comptes" dans les "Préférences Système". <br /><br /><img class="imageStyle" alt="Pasted Graphic" src="http://alain.goubault.fr/index_files/systemprefs.jpg" width="674" height="576"/><br /><br />Ensuite, à la condition de déverrouiller ce panneau en cliquant sur le cadenas (normalement fermé) et donc s'identifier, on active des options qui sont cachées ou verrouillées (grisées). <br /><br /><img class="imageStyle" alt="Pasted Graphic 1" src="http://alain.goubault.fr/index_files/comptes.jpg" width="602" height="481"/><br /><br />En cliquant alors avec le bouton droit de la souris (ou [Ctrl]+clic sur le nom du compte à modifier, un menu contextuel ne contenant que "Options avancée" donne accès à des options qu'ils vaut mieux ne modifier qu'en toute connaissance de cause. Parmi ces options, il y a le chemin du répertoire de base qui est celle qui nous intéresse ici :<br /><br /><img class="imageStyle" alt="Pasted Graphic 2" src="http://alain.goubault.fr/index_files/advanced.jpg" width="567" height="451"/><br /><br />Il n'y a plus qu'à redémarrer l'ordinateur et le changement est opéré.<br /><br />Après cette opération, le dossier à l'ancien emplacement peut être supprimé.<br /><br /><br />Alain Goubault de Brugièrehttp://www.blogger.com/profile/08111037183377717897noreply@blogger.com3tag:blogger.com,1999:blog-7194252326478737571.post-79835916943538751192009-09-19T07:38:00.000+01:002009-09-21T17:33:56.957+01:00Disque Macway M9 Mini Pod 1 To<span class='rapidblog-summary'>Le disque dur de mon mac mini, limité à 120 Go, était devenu tro petit pour y loger les 50 Go de ma photothèque et les 40 Go de fichiers musicaux. J'ai donc décidé d'acheter un disque externe de grande capacité.<br /></span><br />Après réflexion, j'ai orienté mon choix sur le disque Macway M9 Mini Pod de 1 To de capacité. Ce disque offre les avantages suivants :<br />- boitier proche du mac mini du point de vue conception et qui se positionne parfaitement sur ou sous l'ordinateur<br />- disque Hitachi avec 16 Mo de cache (d'après les informations transmises par Macway)<br />- connectable en Firewire ET en USB simultanément<br /><br />Après quelques jours d'attente, je reçois le disque. L'emballage contient le disque lui-même avec son alimentation (transfo externe et prise simple sans terre), un câble USB (genre câble imprimante) et un câble FIrewire. Je trouve également un CD contenant l'application Cobian Backup, excellent freeware pour... PC ! Peut-être pour aider les switchers. Enfin, une petite notice générale sur les disques, mais rien de spécifique à celui-là. Dommage, car il y a des particularités qui mériteraient quelques explications.<br /><br />Le disque est aussitôt mis en place sans aucune difficulté.<br /><br />Je note de suite quelques détails qui me semblent de bon aloi.<br /><br />Il se confirme qu'on peut brancher le disque à la fois en Firewire et en USB. Un petit switch à l'arrière permet de sélectionner la connectique Firewire ou de laisser le système décider de la connectique à utiliser (Auto : dans ce cas, le Firewire est prioritaire sur l'USB). J'ai donc bien sûr laissé la sélection sur Firewire. La connexion USB me permet de disposer de 3 ports USB supplémentaires, le disque faisant office de hub. Je dispose également de deux prises supplémentaires Firewire, mais cette connectique étant sériable, cela a beaucoup moins d'intérêt.<br /><br />D'autres switchs permettent de contrôler le ventitateur : Low/High (vitesse) et Auto/Manuel. En mode Auto, le ventilateur s'active dès que la température augmente. En mode manuel, on peut régler le ventilateur sur Low ou High. Pour réduire le bruit généré, j'ai placé le ventilateur en mode manuel et sur Low. Pas de surchauffe à déplorer; le boitier reste même plutôt tiède.<br /><br />Il y a bien un bouton de mise en route, mais l'ordinateur peut piloter l'alimentation du disque lors de l'extinction. Bien vu.<br /><br />A l'usage, le disque est relativement silencieux et très rapide, surtout par rapport au disque interne du Mac Mini. Je vois très nettement la différence sur la plupart des applications qui doivent ouvrir un fichier local.<br />Alain Goubault de Brugièrehttp://www.blogger.com/profile/08111037183377717897noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7194252326478737571.post-668333888716505342009-09-08T17:18:00.000+01:002009-09-11T18:26:09.040+01:00Snow Leopard<span class='rapidblog-summary'>J'ai enfin reçu Snow Leopard. Je l'avais commandé chez Amazon juste avant la sortie officielle et j'aurai dû le recevoir vers le 3 septembre, mais ils m'ont prévenu d'un retard (sans doute à cause le forte demande).<br /></span><br />Après les sauvegardes d'usage, je lance l'installation du nouveau système. Quelques clics et trois quarts d'heure plus tard, l'ordinateur redémarre et me gratifie d'un grand "Merci" à l'écran.<br /><br />Tout se passe bien et les applications déjà installées dans l'ancien système se lancent sans problème.<br /><br />Je constate que la plupart des applications Apple tournent en 64 bits, sauf iLife (y compris iTunes) qui devront attendre une nouvelle version. Pour celles qui sont éxécutées par défaut en mode 64 bits, et qui ne contiennent donc plus de code PowerPC, une option permet de les faire tourner en 32 bits. Les applications qui sont compatibles avec l'ancienne génération de processeurs fonctionnent donc en mode 32 bits. Une option permet de les faire tourner sous Rosetta; curieux, car qui aurait intérêt à utiliser ce mode ? Certaines applications comme Cyberduck proposent même les 3 modes : Intel 64 ou 32 bits ou PowerPC (Rosetta), mais pour activer Rosetta, il faut d'abord activer le mode 32 bits.<br /><br />Apple disait avant la sortie de ce système qu'il prendrait moins de place disque. Eh bien, c'est au delà de mes espoirs : avant l'installation, il me restait environ 12 Go sur mon disque. Après cette installation, il me reste 22 Go. Gain net : 10 Go. Pas mal, et toutes les applications n'ont pas encore été mise à jour.<br /><br />Quant à dire que le système fonctionne plus rapidement, ce n'est pas flagrant.<br /><br />Les nouveautés du Finder se font assez discrètes et il faura un peu de temps pour les découvrir.Alain Goubault de Brugièrehttp://www.blogger.com/profile/08111037183377717897noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7194252326478737571.post-34694722840328107002009-09-03T17:54:00.000+01:002009-09-03T18:09:00.061+01:00Le haut débit, enfin !Pour bénéficier du haut-débit proposé par Numéricable (théoriquement à 30 MBits/s), j'ai changé mon ancien modem Motorola par un magnifique modem-routeur WIFI NETGEAR CVG834G.<br /><br />A peine branché, j'ai pu apprécier les hautes vitesses en débit descendant, aux environs de 15 MBits/s selon les tests effectués. Il faut dire que je me connecte via une Airport Express et que celle-ci bride certainement ma connexion. Mais si je connecte l'ordinateur sur l'iun des ports Ethernet du modem-routeur, les mesures effectuées ne montre pas d'accélération notable. Par ailleurs, si je me connecte en WIFI sur le modem-routeur, j'obtiens de moins bons résultats. Curieux. <br /><br />Quoiqu'il en soit, je peux apprécier la différence d'avec mon ancienne connexion et c'est appréciable. Les pages web s'affichent vraiment plus vite.Alain Goubault de Brugièrehttp://www.blogger.com/profile/08111037183377717897noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7194252326478737571.post-55908576799733209712009-08-23T13:03:00.000+01:002009-08-23T13:56:31.645+01:00Connecter une borne WIFI à un décodeur Numéricable<span class='rapidblog-summary'>Mon ancien décodeur est tombé en panne et Numéricable m'en a fourni un nouveau de la dernière génération. Plus petit que le précédent, il offre en plus une prise ethernet pour la connexion à Internet. Je me suis dit que ce serait l'occasion de supprimer le modem Motorola dont je me servais jusqu'à présent.<br /></span><br />La première chose à faire est d'activer la carte réseau du décodeur sur le site de Numéricable. Il faut se munir de l'adresse MAC de ladite carte et l'indiquer sur la page web. Ceci fait, je connecte donc le câble ethernet qui relie ma borne WIFI au modem, mais visiblement ça ne fonctionne pas : la borne WIFI n'accroche pas le réseau. <br /><br />Après quelques tâtonnements, j'essaye de brancher mon ordinateur sur le décodeur en utilisant le même câble et là, oh surprise, ça fonctionne parfaitement. Il y a donc un problème entre la borne WIFI et le décodeur puisque chacun séparément fonctionne très bien. <br /><br />La solution est en fait toute simple : la plupart des câbles ethernet sont dits "droits", c'est-à-dire que chaque fil qui part d'une prise est branché sur l'autre prise avec le même code couleur. Mais dans certains cas, notamment lorsque les matériels connectés sont des routeurs, il faut croiser deux des fils. La plupart des équipements des ordinateurs se satisfont indifféremment de l'un ou de l'autre, mais si ce n'est pas le cas, il ne faut pas se tromper. <br /><br />Du moment que j'ai mis un câble croisé, la borne WIFI a parfaitement accroché le réseau.<br />Alain Goubault de Brugièrehttp://www.blogger.com/profile/08111037183377717897noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-7194252326478737571.post-82695820410552554662009-08-07T13:54:00.000+01:002009-08-23T13:56:30.910+01:00Jean-François Parot - Le fantôme de la rue RoyaleTroisième enquête du commissaire Le Floch qui confirme le talent de l'auteur.Alain Goubault de Brugièrehttp://www.blogger.com/profile/08111037183377717897noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7194252326478737571.post-32368641219168368592009-08-05T13:50:00.000+01:002009-08-23T13:56:30.230+01:00Jean-François Parot - L'homme au ventre de plombNouvelle enquête du commissaire Le Floch dans le Paris du XVIIIe siècle. L'histoire est tout aussi passionnante et on ne lasse pas de cette plongée dans la France de Louis XV.Alain Goubault de Brugièrehttp://www.blogger.com/profile/08111037183377717897noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7194252326478737571.post-34007343670064048142009-08-03T13:37:00.000+01:002009-08-23T13:56:29.625+01:00Jean-François Parot - L'énigme des Blancs-manteauxCe roman est le premier d'une série d'enquêtes policières du commissaire Nicolas Le Floch au temps de Louis XV. Il nous entraîne dans les anciens quartiers de Paris aujourd'hui disparus au gré d'enquêtes toutes plus passionnantes les unes que les autres. La description des lieux est tout simplement stupéfiante par l'érudition qu'elle suppose. On en apprends tout autant sur des métiers et les moeurs de l'époque, notamment la vie à la cour de Louis XV du temps de la Pompadour, puis de la du Barry, le héros côtoyant des personnages ayant réellement existé. Cela reste un roman, bien sûr, mais avec tellement d'événements réels que l'ensemble s'apparente presque au reportage.<br /><br />A noter que ce roman a fait l'objet d'une très belle adaptation pour la télé.Alain Goubault de Brugièrehttp://www.blogger.com/profile/08111037183377717897noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7194252326478737571.post-3309436061495815662009-07-28T13:27:00.000+01:002009-08-23T13:56:29.019+01:00Guillaume Musso - Je reviens te chercherDans ce roman fantastique, le héros revit plusieurs fois la même journée. On pense immédiatement au film "un jour sans fin" (il y est fait référence du reste), mais dans le cas présent, cette journée est cruciale, vitale même, pour lui bien sûr mais aussi pour un autre personnage qu'il ne connaissait même pas la veille. Il s'ensuit un roman absolument magnifique et haletant qu'on ne lâche pas une seconde. Et même si on aurait espéré un autre épilogue, il nous laisse le souvenir d'une très belle histoire, magistralement racontée. A noter une nouvelle fois la description parfaite de quartiers de New-York où se passe l'action qui est une constante dans les romans de Musso.Alain Goubault de Brugièrehttp://www.blogger.com/profile/08111037183377717897noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7194252326478737571.post-29532917825705827632009-07-20T13:20:00.000+01:002009-08-23T13:56:28.184+01:00Marc Levy - Toutes ces choses qu’on ne s’est pas ditesCe roman est tout simplement captivant. L'auteur nous entraîne dans une histoire aux limites de la science-fiction, mais en fait il simplement le prétexte pour nous plonger dans le dialogue interrompu par les malentendus entre un père et sa fille. L'épilogue remet singulièrement les pendules à l'heure et on prend la mesure du machiavélisme du personnage. Mais c'était pour la bonne cause.Alain Goubault de Brugièrehttp://www.blogger.com/profile/08111037183377717897noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7194252326478737571.post-81273192062403639732009-07-02T18:25:00.000+01:002009-07-02T18:47:48.832+01:00Récupérer les photos d'un téléphone portable<span class='rapidblog-summary'>Vous avez un téléphone portable avec lequel vous avez pris quelques photos et vous voulez les récupérer sur votre ordinateur. Le problème, c'est que vous n'avez aucun câble pour connecter les deux appareils. Par contre, tous les deux savent communiquer en Bluetooth (protocole de réseau à faible distance). Alors comment faire ?<br /></span><br />La première chose à faire est d'apparier votre ordinateur et votre téléphone. C'est une procédure à faire une fois qui consiste à faire se reconnaître les deux appareils. A partir de l'ordinateur, vous lancez la procédure en indiquant le téléphone comme cible (il doit être visible dans la liste des périphériques bluetooth à proximité). Le téléphone vous indique un code que vous devez ensuite entrer sur l'ordinateur. Si tout se passe bien, l'ordinateur et le téléphone sont appariés. <br /><br />Ensuite, vous mettez en oeuvre sur l'ordinateur un utilitaire qui doit vous permettre de parcourir le contenu du téléphone comme s'il s'agissait d'un disque amovible, avec généralement une structure de dossiers assez simple où les différents types de fichiers sont rangés dans un dossier particulier (photos, sons, vidéos, etc.). De là, il est facile de la transférer sur l'ordinateur.<br /><br />Bon, tout ça c'est très joli, mais si comme moi vous avez un téléphone Samsung SHG-J750, l'exploration du téléphone ne vous affiche aucun fichier. Rien! Alors que les images convoitées sont bien là puisque vous pouvez les voir sur le mobile. Comment faire ?<br /><br />Activez sur l'ordinateur le partage Bluetooth. Dès lors, vous pouvez commander à partir du téléphone l'envoi des fichiers via le Bluetooth sur l'ordinateur. Selon les réglages que vous aurez choisi dans le partage Bluetooth, vous devrez sur l'ordinateur confirmer ou pas la réception (je vous conseille d'activer cette option pour éviter que n'importe qui puisse vous envoyer des fichiers indésirables). Les fichiers seront alors téléchargés dans le dossier que vous aurez indiqué.<br />Alain Goubault de Brugièrehttp://www.blogger.com/profile/08111037183377717897noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7194252326478737571.post-63514005030845925202009-03-18T18:54:00.000+01:002009-05-07T17:17:42.995+01:00Archives départementales du Cantal<span class='rapidblog-summary'>Les archives départementales de l'état-civil du Cantal sont en ligne depuis déjà quelques mois. Les responsables de cette publication ont fait appel au logiciel <a href="http://www.mnesys.fr/" rel="external">Mnesys</a> pour la navigation et l'affichage des feuillets de registres scannés. <br /></span><br />Jusqu'à présent, cette navigation était très laborieuse, surtout en cas de grande affluence sur le site. Tout finissait pas se bloquer lamentablement avec l'envie d'avoir à jeter son ordinateur par la fenêtre.<br /><br />Heureusement, depuis quelques jours, une nouvelle version du logiciel a semble-t-il était installée et les choses vont beaucoup mieux : affichage progressif des pages et surtout mise en cache de ces mêmes pages.<br /><br />Seul regret : le déplacement dans une page zoomée se fait beaucoup moins naturellement que précédemment. Avec un peu d'habitude, on retrouve d'autres automatismes, mais je préférais l'ancien mode.Alain Goubault de Brugièrehttp://www.blogger.com/profile/08111037183377717897noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7194252326478737571.post-39077110817026393452008-12-18T18:55:00.000+01:002009-05-07T17:17:42.010+01:00VirtualBox : dupliquer un disque virtuel<span class='rapidblog-summary'>Vous avez préparé un système virtuel pour VirtualBox et vous souhaitez faire différents systèmes à l’identique afin de spécialiser chacun d’entre eux. Le problème, c’est qu’il n’est pas possible de simplement copier le disque virtuel pour l’utiliser sous un autre nom.<br /></span><br />La solution se trouve dans l’outil VBoxManage, un gestionnaire en mode commande de VirtualBox. VBoxManage permet de totalement piloter le logiciel dans le Terminal et notamment de gérer les disques virtuels.<br /><br />Ouvrez donc le terminal et lancez la commande :<br /><br /><blockquote><p>VBoxManage clonevdi <font color="#990000">~</font>/Library/VirtualBox/VDI/original<font color="#990000">.</font>vdi <font color="#990000">~</font>/Library/VirtualBox/VDI/clone<font color="#990000">.</font>vdi<br /></p></blockquote><br /><br />Au bout de quelques minutes, votre clone de disque virtuel est prêt et vous pouvez l’utiliser pour créer un système virtuel qui l’utilisera sans avoir besoin de relancer tout le processus d’installation du système (Windows ou quelque Linux que ce soit).<br /><br />Si le coeur vous en dit, vous pouvez lister toutes les commandes disponible en tapant simplement :<br /><br /><blockquote><p>VBoxManage<br /></p></blockquote><br /><br />Une bonne documentation est toutefois nécessaire pour en exploiter la quintessence. Vous la trouverez sans problème sur Internet.<br /><br />Par exemple, pour lancer VirtualBox en ouvrant le système virtuel « Windows », vous taperez la commande :<br /><br /><blockquote><p>VBoxManage startvm Windows<br /></p></blockquote><br /><br />Alain Goubault de Brugièrehttp://www.blogger.com/profile/08111037183377717897noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7194252326478737571.post-21858507047533026822008-11-23T11:54:00.000+01:002009-05-07T17:17:40.871+01:00Externaliser ses photos dans la photothèque : LA solution<span class='rapidblog-summary'>Dans un précédent article, j’avais donné des pistes pour externaliser ses photos originales de la photothèque. Il y a une solution assez simple qui résout définitivement cette question<br /></span><br />De fait, il suffit de créer un lien symbolique entre le dossier « Originals » de la photothèque et le dossier externalisé.<br /><br />Qu’est-ce qu’un « lien symbolique » ? Il s’agit d’un objet unix qui s’apparente à un alias, mais qui est structurellement dépendant de la structure des fichiers unix sous-jacente à Mac OS X.<br /><br />Mais alors, si c’est comme un alias, pourquoi ne pas faire un alias, tout simplement ? Parce qu’avec un alias, ça ne marche pas. L’alias est un fichier qui contient le chemin vers le répertoire qu’il remplace : iPhoto cherche à accéder à un répertoire et il ne retrouve pas ainsi les images originales. <br /><br />Mais rassurez-vous, faire un lien symbolique vers un répertoire n’a rien de sorcier.<br /><br />Attention : ce qui suit ne fonctionne qu’avec iPhoto de la suite iLife ’08 où la photothèque est rangée dans un paquet, vu comme un seul fichier par le Finder. Avec une version plus ancienne où la photothèque est dans un dossier, le principe serait le même, mais je ne sais pas comment l’application range les images originales.<br /><br />Commencez pas quitter iPhoto. Ensuite, dans le Finder, faites un clic-droit ou [Ctrl]+clic sur la photothèque (iPhoto Library). Dans le menu contextuel, sélectionnez « Afficher le contenu du paquet »<br /><br /><img class="imageStyle" alt="Pasted Graphic" src="http://alain.goubault.fr/http://alain.goubault.fr/index_files/contextualmenu_iphoto.jpg" width="238" height="282"/><br /><br />Dans la fenêtre ouverte sur le Finder qui vous détaille le contenu de la photothèque, repérez le dossier « Originals ». Ce dossier, vous devez le copier ailleurs sur votre disque ou sur un autre. Quand cette copie est terminée et que vous avez bien vérifié qu’elle contient autant d’éléments que l’original (affichez les informations de l’un et de l’autre pour vous en assurer), alors supprimez le dossier « Originals » de la photothèque (ne videz pas tout de suite la corbeille).<br /><br /><img class="imageStyle" alt="Pasted Graphic 1" src="http://alain.goubault.fr/http://alain.goubault.fr/index_files/infos_originals.jpg" width="317" height="371"/><br /><br />Il reste maintenant à créer le lien symbolique.<br /><br />Affichez dans le Finder le dossier contenant votre dossier « Originals » qui contient vos images originales<br /><br />Ouvrez l’application « Terminal »; elle se situe dans le dossier « Utilitaires » du dossier « Applications »<br /><br />Entrez la commande suivante SANS la valider de suite (n’oubliez pas l’espace après le -s)<br /><br /><blockquote><p>sudo ln -s <br /></p></blockquote><br /><br />En fait, la commande est simplement « ln -s » mais nous la faisons précéder de sudo pour l’exécuter avec les droits d’un administrateur.<br /><br />Dans une nouvelle fenêtre du Finder, sélectionnez le dossier « Originals » et faites le glisser à côté de la commande ci-dessus; celle-ci doit se compléter automatiquement avec le chemin d’accès complet à votre nouveau dossier en écriture de type unix. Vous devez avoir quelque chose du style :<br /><br /><blockquote><p>sudo ln -s /Users/votre_nom/chemin/Originals<br /></p></blockquote><br /><br />Complétez la commande en y ajoutant ~/Pictures/iPhoto Library/Originals<br /><br />~ est un raccourci qui symbolise le chmin d’accès à votre répertoire personnel (la petite maison). Remarquez comme il faut écrire les noms des dossiers en anglais : « Pictures » et non pas « Images »; c’est parce que le Finder traduit le nom de ces dossiers pour vous le présenter de manière plus compréhensible. Mais ici, nous sommes dans le système unix sous-jacent et il faut mettre les noms réels des dossiers.<br /><br />Votre commande (que nous n’avons toujours pas validée) doit donc se présenter comme suit :<br /><br /><blockquote><p>sudo ln -s /Users/votre_nom/chemin/Originals <font color="#990000">~</font>/Pictures/iPhoto Library/Originals<br /></p></blockquote><br /><br />mais avec le chemin effectif de votre dossier « Originals » au lieu de /Users/votre_nom/chemin/Originals que j’ai mis à titre d’exemple et qui ne dépend que de vous.<br /><br />Validez cette commande en tapant la touche [ENTRÉE]<br /><br />Vous devez alors taper (à cause du sudo) votre mot de passe de session. Sitôt fait, le lien symbolique est créé.<br /><br />Pour vérifier que tout s’est bien passé, allez dans le dossier de la photothèque comme vous l’avez fait ci-dessus et qui est sans doute restée ouverte. Vous devez voir apparaître un alias portant le nom « Originals ». Le Finder montre les liens symboliques comme s’il s’agissait d’un simple alias, alors que du point de vue unix, ce n’est pas du tout la même chose.<br /><br />Si vous en avez la curiosité, tapez les commandes suivantes dans le terminal (validez par [ENTRÉE] après chaque commande) :<br /><br /><blockquote><p>cd <font color="#990000">~</font>/Pictures/iPhoto Library<br />ls -l<br /></p></blockquote><br /><br />La première commande met le dossier de la photothèque comme répertoire courant. La deuxième liste son contenu en liste détaillée. Repérez la ligne dont le premier caractère est l; vous constatez que ce fichier renvoie vers un autre ;<br /><br /><img class="imageStyle" alt="Pasted Graphic 2" src="http://alain.goubault.fr/http://alain.goubault.fr/index_files/affichage_lien_symbolique.jpg" width="888" height="26"/><br /><br />Maintenant, revenez au Finder et double-cliquez sur l’alias. Le Finder doit vous ouvrir une fenêtre affichant le contenu du dossier vers lequel pointe le lien, c’est-à-dire vos images originales.<br /><br />Voilà, c’est terminé. Si vous lancez iPhoto, l’application n’y verra que du feu mais votre photothèque n’est plus encombrée par les images originales qui sont rangées ailleurs.<br /><br />Prenez garde toutefois lorsque vous utiliserez un logiciel de sauvegarde. Selon l’application et ce peut-etre une option de celle-ci, les liens symboliques pourront ou non être « suivis » et votre sauvegarde contiendra ou non les originaux. Un seul conseil : faites le test et vérifiez la taille de la sauvegarde de votre photothèque. Si vous faites une simple copie du fichier « iPhoto Library », cette copie ne contiendra pas les images originales.<br /><br />Alain Goubault de Brugièrehttp://www.blogger.com/profile/08111037183377717897noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7194252326478737571.post-73924502047184608962008-10-29T18:54:00.000+01:002008-10-29T19:13:22.857+01:00Crise financière : amalgame et désinformationDepuis le début de la crise financière, les média même les plus sérieux s'obstinent dans un amalgame d'une telle malhonnêteté intellectuelle qu'elle en est criminelle.<br /><br />L'état français, en coordination avec tous les pays de la C.E.E., a apporté sa caution pour rassurer les marchés financiers qui se regardent en chiens de faïence. Cette garantie à hauteur de plusieurs centaines de milliards d'euros n'est qu'un engagement à intervenir en cas de problème. Cet argent n'a jamais été dépensé et ne le sera jamais (ou alors, c'est vraiment la fin d'un monde où tout s'écroule, mais c'est là une autre histoire et nous n'en sommes pas là, heureusement). Même l'argent prêté aux banques (quelques milliards d'euros) ne doit pas être considéré comme une dépense puisque ces mêmes banques devront le rembourser prochainement.<br /><br />Mais voilà que les médias, en interviewant des gens dans la rue courent après le sensationnel et au lieu d'informer le public sur les réalités des choses, entretiennent dans son esprit le fait que cet argent a bien été dépensé, qui plus est pour venir en aide aux banques - au sens "aux riches financiers qui ont perdu un peu d'argent de poche", et qu'il ne reste plus même quelques millions bien réels pour venir en aide à des entreprises mal gérées - CAMIF - ou qui n'ont pas senti venir la crise - les constructeurs automobiles.<br /><br />Mais de qui se moque-t-on ? Comment peut-on laisser de telles inepties s'installer dans la tête des gens ? Les médias feraient mieux d'enquêter - du vrai travail d'investigation - pour savoir si les banques ne sont pas en train de jouer cet argent en bourse au lieu de le prêter à leur tour aux entreprises qui ont besoin d'un soutien de leur trésorerie.<br />Alain Goubault de Brugièrehttp://www.blogger.com/profile/08111037183377717897noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7194252326478737571.post-24372784499470712842008-10-24T20:09:00.000+01:002009-02-12T18:50:03.780+01:00Tous Comptes Faits 5.0Hier, j’ai reçu une information de l’éditeur Innomatix annonçant la disponibilité de la version 5.0 de son logiciel phare « Tous Comptes Faits ». <br /><br />Je suis un fidèle de ce logiciel depuis plus de 10 ans et je ne manque jamais de le mettre à jour à chaque nouvelle version. A mes débuts sur Mac, j’utilisais comme beaucoup de gens un simple tableur pour gérer mes comptes. Rapidement, j’ai compris que rien ne valait un logiciel spécialisé et TCF est vraiment d’une ergonomie remarquable malgré son interface un peu vieillotte. Je devrais dire « était » puisque cette nouvelle version est l’occasion d’une refonte complète de cette interface.<br /><br />Adieu donc l’environnement graphique de la version 4 qui n’était guère qu’un habillage de la fenêtre de travail. Désormais, on a tous les comptes sous la main grâce à une présentation « à la iTunes ». Passer d’un compte à l’autre est maintenant immédiat avec un petit effet graphique tout à fait plaisant. Et si on veut avoir deux comptes visibles en même temps, on peut ouvrir une autre fenêtre, mais avec tout l’habillage qui prend de la place à l’écran. Il est donc conseillé d’avoir un vrai grand écran.<br /><br />La fenêtre qui liste les écritures d’un compte n’a pas fondamentalement changé. Il s’agit toujours d’une grille de données très classique. On retrouve donc les mêmes informations que dans la version précédente. Ceci dit, que pourrait-on imaginer d’autre ? Heureusement, les diverses icônes ont aussi changé de look et l’ensemble apparaît réellement rajeuni.<br /><br />La saisie des écritures se fait comme avant dans une petite fenêtre. Pas de saisie ni de modification directement dans la grille.<br /><br />Une nouveauté intéressante tout de même : il est possible d’afficher des séparateurs pour mettre en évidence les écritures vieilles de plus d’un mois, celles du mois en cours, de ces derniers jours (pour les opérations passées) et celles à venir dans les prochains jours ou le mois prochain. Bien vu.<br /><br />Dans le panneau de gauche, on trouve donc les groupes de comptes qu’on peut définir dans le logiciel. A noter que la récupération des données de l’ancienne application s’est faite sans aucune anicroche. En déroulant un groupe de comptes, on liste lesdits comptes, ce qui permet donc d’y accéder d’un clic.<br /><br />Plus bas, on trouve une section « Affichages » avec tout d’abord les fonctions de suivi de la trésorerie : Liste des opérations, courbe de trésorerie, Rapprochement internet, toutes fonctions qui étaient auparavant affichées dans une fenêtre dédiée. Ces fonctions s’adaptent bien sûr au compte sélectionné plus haut (ou au groupe de compte lorsque c’est lui qui est sélectionné).<br /><br />Parmi les nouveautés, le logiciel permet d’afficher directement dans une fenêtre de l’application le site de la banque de votre choix, ce qui permet d’aller chercher des relevés internet pour faire le pointage des opérations sans quitter l’application. On peut aussi y récupérer des relevés électroniques et les enregistrer en pièce jointe dans la base de TCF.<br /><br />Viennent ensuite diverses analyses comme le bilan des dépenses, des revenus, par catégories, par affectations, etc. Toutes choses qui peuvent aider à surveiller ses dépenses.<br /><br />Un mot sur le mode d’affichage de la trésorerie qui est désormais un outil vraiment remarquable. Vous déterminez d’abord le nombre de mois affichés, de 3 à 24 (ou un nombre quelconque), puis vous faites glisser cette période en la calant sur une date précise. La courbe de trésorerie s’affiche alors dans la partie supérieure de la fenêtre et vous pouvez ajuster l’échelle verticale ou l’échelle longitudinale. En dessous de cette courbe s’affichent les écritures à la date que vous pointez sur la courbe. Vous pouvez ajuster l’espace alloué à l’un par rapport à l’autre.<br /><br />Et si au lieu d’un compte particulier vous avez sélectionné le groupe de comptes, votre courbe de trésorerie englobe tous les comptes de ce groupe. D’un coup d’oeil, vous voyez donc l’ensemble de votre trésorerie. Vraiment très bien fait.<br /><br />Reste à vérifier si le logiciel confirmera à l’usage la si bonne impression qu’il donne. Personnellement, je n’en doute pas.Alain Goubault de Brugièrehttp://www.blogger.com/profile/08111037183377717897noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-7194252326478737571.post-69665945121633115572008-09-20T13:00:00.000+01:002009-02-12T18:50:02.980+01:00Externaliser ses photos dans la photothèqueMa photothèque iPhoto (version 7 d’iLife ’08) a une fâcheuse tendance à grossir au delà de ce que les photos seules occuperait en espace disque. iPhoto m’annonce une taille de photothèque de 11,5 Go alors que la photothèque occupe allègrement plus de 20 Go. Ceci est dû au mécanisme de gestion des originaux de iPhoto et il peut être tentant de les extraire pour ne conserver que les photos modifiées.<br /><br />Tout d'abord, à l'importation, la photo est placée dans un dossier portant le nom de l'événement (peut-être un nom par défaut) dans le dossier de l'année de la photo lui même dans le dossier Originals.<br /><br />On aura donc, par exemple : "iPhoto Library/Originals/2008/Test/Photo.jpg"<br /><br />A la moindre modification, la photo est dupliquée dans un autre dossier "Modified". Par exemple : "iPhoto Library/Modified/2008/Test/Photo.jpg"<br /><br />laissant l'original à sa place pour permettre de la restaurer.<br /><br />A noter qu'une option d'iPhoto permet de ne pas copier les images originales dans la bibliothèque. Seules les images modifiées y sont copiées. A la place de l’original dans la photothèque, iPhoto crée un alias.<br /><br />Si on supprime purement et simplement de la photothèque les dossiers des photos originales, iPhoto ne permettra plus qu’on accède aux modifications des photos (seule la visualisation est possible). Il faut donc conserver la possibilité de « re-connecter » les originaux à la photothèque.<br /><br />Soit donc, on remplace chaque photo originale par un alias, les originaux étant alors stockés ailleurs (externalisés). Cette opération n’est envisageable que s’il n’y a pas beaucoup de photos ou alors, il faut l’automatiser avec un script.<br /><br />Soit on supprime les photos originales et on modifie le catalogue pour y indiquer le nouveau chemin d’accès aux originaux. Ce fichier catalogue se trouve à la racine de la photothèque; il se nomme « AlbumData.XML » On peut le modifier avec TextWranger, un éditeur de texte gratuit et très puissant qui permet de faire des remplacement multiples.<br /><br />Voici la structure d’un enregistrement d’une image dans ce fichier :<br /><blockquote><p><b><font color="#0000FF"><dict></font></b><br /><b><font color="#0000FF"><key></font></b>MediaType<b><font color="#0000FF"></key></font></b><br /><b><font color="#0000FF"><string></font></b>Image<b><font color="#0000FF"></string></font></b><br /><b><font color="#0000FF"><key></font></b>Caption<b><font color="#0000FF"></key></font></b><br /><b><font color="#0000FF"><string></font></b>Paris : Ile de la Cité<b><font color="#0000FF"></string></font></b><br /><b><font color="#0000FF"><key></font></b>Comment<b><font color="#0000FF"></key></font></b><br /><b><font color="#0000FF"><string></string></font></b><br /><b><font color="#0000FF"><key></font></b>GUID<b><font color="#0000FF"></key></font></b><br /><b><font color="#0000FF"><string></font></b>73A7CEDD-9A1C-4608-804F-4A549F9AE4A1<b><font color="#0000FF"></string></font></b><br /><b><font color="#0000FF"><key></font></b>Aspect Ratio<b><font color="#0000FF"></key></font></b><br /><b><font color="#0000FF"><real></font></b>0.750000<b><font color="#0000FF"></real></font></b><br /><b><font color="#0000FF"><key></font></b>Rating<b><font color="#0000FF"></key></font></b><br /><b><font color="#0000FF"><integer></font></b>0<b><font color="#0000FF"></integer></font></b><br /><b><font color="#0000FF"><key></font></b>Roll<b><font color="#0000FF"></key></font></b><br /><b><font color="#0000FF"><integer></font></b>65<b><font color="#0000FF"></integer></font></b><br /><b><font color="#0000FF"><key></font></b>DateAsTimerInterval<b><font color="#0000FF"></key></font></b><br /><b><font color="#0000FF"><real></font></b>88005763.000000<b><font color="#0000FF"></real></font></b><br /><b><font color="#0000FF"><key></font></b>ModDateAsTimerInterval<b><font color="#0000FF"></key></font></b><br /><b><font color="#0000FF"><real></font></b>90787562.270161<b><font color="#0000FF"></real></font></b><br /><b><font color="#0000FF"><key></font></b>MetaModDateAsTimerInterval<b><font color="#0000FF"></key></font></b><br /><b><font color="#0000FF"><real></font></b>241479269.408358<b><font color="#0000FF"></real></font></b><br /><b><font color="#0000FF"><key></font></b>ImagePath<b><font color="#0000FF"></key></font></b><br /><b><font color="#0000FF"><string></font></b>/Users/famille/Pictures/iPhoto Library/Modified/2003/Île de la Cité/DSC00036.JPG<b><font color="#0000FF"></string></font></b><br /><b><font color="#0000FF"><key></font></b>OriginalPath<b><font color="#0000FF"></key></font></b><br /><b><font color="#0000FF"><string></font></b>/Users/famille/Pictures/iPhoto Library/Originals/2003/Île de la Cité/DSC00036.JPG<b><font color="#0000FF"></string></font></b><br /><b><font color="#0000FF"><key></font></b>ThumbPath<b><font color="#0000FF"></key></font></b><br /><b><font color="#0000FF"><string></font></b>/Users/famille/Pictures/iPhoto Library/Data/2003/Île de la Cité/DSC00036.jpg<b><font color="#0000FF"></string></font></b><br /><b><font color="#0000FF"><key></font></b>Keywords<b><font color="#0000FF"></key></font></b><br /><b><font color="#0000FF"><array></font></b><br /><b><font color="#0000FF"><string></font></b>22<b><font color="#0000FF"></string></font></b><br /><b><font color="#0000FF"><string></font></b>9<b><font color="#0000FF"></string></font></b><br /><b><font color="#0000FF"></array></font></b><br /><b><font color="#0000FF"></dict></font></b><br /></p></blockquote><br /><br />On voit que le catalogue conserve le chemin de l’image modifiée, celui de l’image originale et celui de la vignette pour l’affichage en réduction. Le chemin de la photo originale peut donc être en fait celui d’un alias qui pointe sur la vraie photographie.<br /><br />Si on veut vraiment externaliser les originaux, il faut modifier les chemins d’accès dans ce fichier. Comme ces chemins commencent par la même chaîne : « /Users/<votre compte>/Pictures/iPhoto Library/Originals », il est facile de la modifier en une seule commande dans l’éditeur, par exemple par : « /Volumes/<volume externe>/Photos originales » à la condition bien sûr de conserver le classement de iPhoto (par années puis par événements).<br /><br />Donc, le plus simple est de recopier (déplacer) les dossiers à l’intérieur de Originals, puis de modifier le fichier AlbumData.xml. Ensuite, on peut supprimer les originaux.<br /><br />Par la suite, lorsqu’on ajoute des photos à la photothèque, il faut, soit conserver le mécanisme des alias (et avoir indiqué au logiciel de ne pas importer les photos dans la photothèque), soit recommencer l’opération ci-dessus à chaque importation.<br />Alain Goubault de Brugièrehttp://www.blogger.com/profile/08111037183377717897noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7194252326478737571.post-65616494012919261802008-09-20T12:35:00.000+01:002009-02-12T18:50:02.038+01:00Ecrire sur des disques NTFSPar défaut, Mac OS X n’est capable que de lire des disques formatés en NTFS, le format habituel par défaut des PC sous Windows XP et ultérieurs. Il existe des solutions payantes ou gratuites pour ajouter à notre système la possibilité d’écrire sur ces disques.<br /><br />Tout d’abord, il faut installer <a href="http://code.google.com/p/macfuse/" rel="external" title="MacFUSE">MacFUSE</a>. MacFUSE est un Framework qui ajoute à Mac OS X une base pour la gestion de disques dans toutes sortes de formats. On le trouve dans les projets de développement en open source de Google.<br /><br />Après avoir installé ce package, il faut également installer <a href="http://macntfs-3g.blogspot.com/" rel="external" title="NTFS 3G">NTFS 3G</a> qui complète MacFUSE en y apportant la gestion du format NTFS. Ce développement est également un projet en open source chez SourceForge.<br /><br />Après cette installation qui se passe sans problème, il faut redémarrer l’ordinateur.<br /><br />Dès lors, vous êtes capable de lire mais aussi d’écrire sur des disques NTFS.<br />Alain Goubault de Brugièrehttp://www.blogger.com/profile/08111037183377717897noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7194252326478737571.post-31083808318364949492008-09-13T10:58:00.000+01:002008-09-13T13:08:09.878+01:00Tradition républicaineCeux qui veulent que rien ne change ont pour seul leitmotiv la sacro-sainte "Tradition républicaine" ou les "Acquis sociaux". En fait, ce sont avant tout des conservateurs, attardés mentaux et rétrogrades. Contradictoirement, ils vont utiliser les media modernes pour dispenser leur anachronisme de pensée. Car, comment doit-on considérer autrement que par de l'immobilisme insensé, ceux qui se réfèrent comme une immuabilité intangible à ce qui a été décrété il y 100 ans ? La société bouge, change, en bien ou en mal mais là n'est pas la question. Ou plutôt si, elle est là, justement : comme la société n'évolue pas comme ils l'entendent, ils se réfèrent à des valeurs passéistes pour refuser le changement au lieu d'oeuvrer pour un autre futur. C'est tellement commode d'invoquer la "Tradition républicaine".Alain Goubault de Brugièrehttp://www.blogger.com/profile/08111037183377717897noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7194252326478737571.post-38318591116936887772008-09-10T13:49:00.000+01:002009-02-12T18:50:01.133+01:00Mes réglages SilverFast pour les diapositivesAprès pas mal d’essais et plusieurs dizaines de diapositives scannées, j’ai retenu un réglage standard pour obtenir un résultat satisfaisant.<br /><br />Dans un premier temps, j’avais choisi comme support de l’original le type « positif » avec dans certains cas, des résultats médiocres, notamment lorsque la photo est sous-exposée : les zones d’ombre sont trop souvent de vulgaires trous noirs sans plus aucun détail.<br /><br />J’ai alors tenté le type Kodachrome, bien que mes diapositives ne soient pas de cette marque. Les résultats obtenus sont généralement beaucoup plus satisfaisants.<br /><br />Parmi les outils de correction des images, je n’ai conservé que la correction AACO (Auto Adaptive Contrast Optimization) qui est censé corriger les forts écarts de contraste, mais sans grande conviction sur son efficacité. En fait, je ,e l’ai conservé que parce qu’il ne prend pas trop de temps lors du traitement. J’ai fait divers essais en ce qui concerne les autres outils (notamment ceux qui nécessitent plusieurs passages du scanner) et je n’ai pas observé de différences fondamentales sur le résultat.<br /><br />Pour le cadrage, j’ai opté pour cadrer le plus large possible et de faire le re-cadrage dans iPhoto où cette opération est beaucoup plus facile à réaliser.<br /><br />Ensuite, j’ai réglé la résolution sur 2400 ppi. Après conversion dans iPhoto en 72 ppi, ça me donne environ le poids d’une photo en 7 MPixels, soit de l’ordre de 3 Mo<br /><br /><table summary="cinéma"><br /><tr><br /><td align="center"><br /><img class="imageStyle" alt="Image 2" src="http://alain.goubault.fr/index_files/silverfast.jpg" width="326" height="192"/><br /></td><br /><td align="center"><br /><img class="imageStyle" alt="Image 1" src="http://alain.goubault.fr/index_files/iphoto.jpg" width="328" height="192"/><br /></td><br /></tr><br /><tr><br /><td align="center"><br /><div style="display: inline;font-size:11px; ">Image issue du logiciel Silverfast <br /></div ></td><br /><td align="center"><br /><div style="display: inline;font-size:11px; ">Image après conversion dans iPhoto <br /></div ></td><br /></tr><br /></table><br /><br />Un scan en 1800 ppi pourrait s’avérer suffisant (photo en 4 MPixels). J’ai choisi 2400 ppi pour me garder une marge si je décidais de re-cadrer la photo. Déjà rien que la suppression des bords noirs que me laisse le scan fait passer la photo à 6 MPixels. Mais parfois, je re-cadre pour ne retenir que la partie intéressante de la photo; elle peut alors descendre à 3 Mpixels.<br /><br /><br /><table summary="scanpilot"><br /><tr><br /><td valign="top"><br /><img class="imageStyle" alt="Image 2" src="http://alain.goubault.fr/index_files/scanpilot.jpg" width="94" height="271"/><br /></td><br /><td align="left"><br />Pour lancer le scan lui-même, je fait appel à Scan Pilot qui permet de vraiment limiter les interventions à chaque photo. <br /><br />Dans Scan Pilot, je n’ai conservé que la pré-visualisation, suivie d’une correction automatique de l’image (histogramme) plus efficace que celle de iPhoto, puis de l’enregistrement de l’image. La pré-visualisation me permet de vérifier l’intérêt de la photo; le logiciel me demandant où je veux enregistrer l’image, je peux éventuellement annuler pour passer à la suivante ou même revenir sur les réglages spécifiquement pour cette photo de manière à tenter d’obtenir un meilleur résultat.<br /><br />Le traitement d’un lot de photos est alors assez rapide : <br /><ul style="list-style-type:circle"><br /><li><br />positionnement de la photo sur le scanner<br /></li><br /><li><br />lancement du scan avec Scan Pilot<br /></li><br /><li><br />après la prévisualisation et la correction automatique, choix du nom et de l’emplacement du fichier; si tout va bien, il suffit de cliquer sur « Enregistrer » ou d’appuyer sur « Entrée »<br /></li><br /></ul><br />Cette séquence est répétée autant de fois qu’il y a de photo dans le réceptacle (jusqu’à 4 diapositives ou 6 négatifs)<br /></td><br /></tr><br /></table><br />Alain Goubault de Brugièrehttp://www.blogger.com/profile/08111037183377717897noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7194252326478737571.post-53800453840509814182008-09-07T15:06:00.000+01:002009-02-12T18:50:00.260+01:00Dossiers invisibles dans le FinderEn consultant le contenu de ma bibliothèque iPhoto (depuis iLife ’08, cette bibliothèque est un package dont on peut afficher le contenu avec le menu contextuel), je me suis rendu compte que certains dossiers étaient invisibles. Ca ne nuit pas au fonctionnement du logiciel, mais il n’est pas possible de les explorer dans le Finder. Voici comment faire pour les rendre à nouveau visibles.<br /><br />Un dossier (ou un fichier) est masqué si son nom commence par un « . ». C’est une règle sous unix et Mac OS X l’utilise pour nous empêcher de faire de bêtises. Pour voir ces fichiers, il existe une commande dans le Terminal ou vous pouvez utiliser le logiciel Onyx qui dispose d‘une option pour afficher/masquer ces fichiers invisibles.<br /><br />Une autre façon de procéder, est d’utiliser le bit d’invisibilité du fichier ou du dossier. <br /><br />La commande unix « ls -l» dans le terminal permet d’afficher des informations sur les éléments listés. Après le « d » qui indique un répertoire (ou « - » pour un simple fichier), vous trouvez les droits sur le fichier ou le répertoire : 3 groupes (propriétaire, groupe et les autres) de 3 flags (lecture, écriture et exécution). Immédiatement après, vous pouvez voir un caractère « @ » qui indique que l’élément est invisible (son bit d’invisibilité est armé)<br /><br /><blockquote><p> <font color="#993399">0</font> drwxr--r--@ <font color="#993399">20</font> famille staff <font color="#993399">680</font> <font color="#993399">7</font> sep <font color="#993399">13</font><font color="#990000">:</font><font color="#993399">26</font> <font color="#993399">2008</font><br /></p></blockquote><br /><br />La commande chflags dans le Terminal (Leopard) permet d’armer ou de désarmer ce bit.<br /><br /><blockquote><p>chflags hidden <font color="#990000"><</font>nom du répertoire ou du fichier<font color="#990000">></font><br />chflags nohidden <font color="#990000"><</font>nom du répertoire ou du fichier<font color="#990000">></font><br /></p></blockquote><br /><br />La commande « ls -l » montre alors <br /><br /><blockquote><p>drwxr--r-- <font color="#993399">20</font> famille staff <font color="#993399">680</font> <font color="#993399">7</font> sep <font color="#993399">13</font><font color="#990000">:</font><font color="#993399">26</font> <font color="#993399">2008</font><br /></p></blockquote><br /><br />Le « @ » a disparu. Le fichier ou le dossier est à nouveau visible dans le Finder.<br />Alain Goubault de Brugièrehttp://www.blogger.com/profile/08111037183377717897noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7194252326478737571.post-2101439122294606622008-08-30T21:31:00.000+01:002009-02-12T18:49:59.303+01:00Déplacer des photos dans un événement existantIl arrive souvent qu’on ait des photographies à placer dans un événement existant. Voici quelques astuces pour faciliter ce travail.<br /><br />Quand on importe de nouvelles photos dans iPhoto version 7, le logiciel crée un événement sans titre avec une date qui peut être extraite des données EXIF des fichiers images ou sinon avec la date système au moment de l’importation.<br /><br />Si la date de ce nouvel événement est proche de l’événement existant où vous voulez les placer, alors il n’y a pas de problème. Dans la vue par événements, vous faites glisser le dernier créé et vous le déposer sur l’événement en question. Les photos y seront déplacées.<br /><br />Mais si les deux dates sont éloignées, ce peut être laborieux de faire défiler les événements jusqu’à trouver celui qui va recevoir les nouvelles images. Et le risque n’est pas négligeable de mettre par erreur les images dans un événement voisin.<br /><br /><div class="image-left"><img class="imageStyle" alt="Image 2" src="http://alain.goubault.fr/index_files/recents.jpg" width="219" height="186"/></div>Il y a une méthode beaucoup plus simple et plus sûre. Les photos que vous voulez déplacer sont dans la vue « Dernière importation » parmi les vues « RECENTS ». Si vous ouvrez l’événement qui doit recevoir vos photos, il apparaîtra également dans la liste des vues « RECENTS ». Il ne vous reste plus qu’à afficher les images à classer et à les faire glisser à gauche sur la vue de l’événement où vous voulez les y mettre.<br /><br />Et si les photos à déplacer ne sont pas issues d’une importation récente, mais disséminées dans d’autres événement, cette méthode est objectivement la seule à appliquer. Il suffit en effet de marquer les photos à déplacer (les « signaler »). Ces photos marquées sont alors regroupées dans la vue « Signalées » et vous pouvez procéder de la même façon que précédemment pour les déplacer dans l’événement de votre choix.<br /><br />Alain Goubault de Brugièrehttp://www.blogger.com/profile/08111037183377717897noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7194252326478737571.post-27270132099349183772008-08-28T17:43:00.000+01:002009-02-12T18:49:58.697+01:00plustek OpticFilm 7300Je recherchais une solution pas trop chère pour numériser mes anciennes photographies argentiques afin de compléter ma photothèque iPhoto. La numérisation des photos tirées sur papier aurait pu être suffisante si les photos n’avaient pas été collées dans des albums; et puis, il a a les diapositives. Il me fallait donc une solution permettant de numériser les négatifs et les diapositives.<br /><br />Ayant déjà un scanner à plat, je n’envisageais pas d’en acquérir un autre permettant de scanner les transparents. J’ai donc cherché du côté des scanners spécialisés. Par ailleurs, je ne voulais pas non plus que le prix de cet appareil atteigne des sommets, mon besoin n’étant pas du tout celui d’un professionnel. <br /><br />J’aurais pu d’ailleurs confier le travail à un photographe. Une enseigne comme Phox propose ce service pour un côut de 8 € les 24 photos. Pour un ensemble de 1000 photos, ça me reviendrait à un peu plus de 300 €. Mon budget était donc de cet ordre pour que l’affaire soit rentable en tenant compte du fait qu’un appareil dédié est plus souple, n’ayant pas besoin de pré-sélectionner les photos réellement intéressantes avant de les confier au photographe.<br /><br />Exit donc les scanners Nikon, sans doute très bien, mais qui ne correspondent pas à mon besoin ni à mon budget.<br /><br />Je me suis donc orienté vers les appareils grand public de la marque plustek. Cette marque propose d’ailleurs toute une gamme allant de moins de 200 € jusqu’à 500 €. Encore fallait-il que l’appareil soit compatible Mac. Qu’est-ce que ça signifie d’ailleurs ? Ils sont tous connectables en USB et ne nécessitent qu’un logiciel capable de le piloter. Or dans la gamme plustek, en dehors de quelques aspects techniques qui les différencient, tous sont fournis avec une application SilverFast de Lasersoft Imaging et selon le modèle, cette application est ou non compatible avec Mac OS (la gamme OpticFilm 7200). Il ne reste alors que les modèles 7300 et 7500, ces derniers étant à vocation plus professionnelle et sont nettement plus chers. Le modèle 7300 ne coûte que 250 €; il est compatible Mac et correspond parfaitement à mon besoin.<br /><br />Sitôt dit, sitôt fait, je le commande et quelques jours plus tard, il m’est livré.<br /><br />L’appareil n’est pas très volumineux ni lourd et il peut facilement être posé à côté de l’ordinateur. Il est fourni avec un câble d’alimentation (sans prise de terre) et un câble USB. Les négatifs ou les diapositives doivent être positionnés dans l’un des caches fournis et cela se fait sans problème. Attention toutefois : le passage des vues se fait manuellement et latéralement de droite à gauche quand on regarde l’appareil; il faut donc prévoir un peu d’espace de part et d’autre pour cette manoeuvre. Sur le dessus de l’appareil, un lampe en rétro-éclairage permet de voir la diapositive comme sur une table de lumière; très pratique pour en vérifier le contenu.<br /><br />L’installation du logiciel SilverFast est simple. Il est recommandé de télécharger la dernière version sur le site de l’éditeur. Pour ça, vous devez vous inscrire sur le site avec le code de licence qui figure sur la boite fournie avec le scanner. La seule difficulté - parce que le message n’est pas clair - est qu’il faut insérer le CD au moment où vous entrez le code de licence pour déverrouiller le logiciel. Heureusement le support de l’éditeur est rapide et efficace : ils ont répondu même dans la soirée à la question que je leur ai posée sur le site.<br /><br />Ce logiciel est parfois présenté comme difficile d’accès à cause des nombreux réglages. En fait, on peut se contenter de quelques réglages simples sans se prendre la tête avec des sophistications inutiles. <br /><br />La première question à se poser est quelle résolution adopter pour les photos obtenues. Le scanner peut aller jusqu’à 7200 dpi, ce qui donne des fichiers énormes pour des tirages gigantesques. La dimension de l’image restant à celle du négatif, soit 24 x 36 mm environ, il faut compenser cette taille par une résolution plus élevée que le classique 72 dpi. Après quelques essais, j’ai opté pour une résolution de 1800 dpi, ce qui donne des fichiers JPEG d’environ 2 Mo en top qualité. Ca correspond à des photos d’un appareil de 4 Mpixels, largement suffisant pour même envisager des tirages papier.<br /><br />Ensuite, on peut appliquer divers traitements à l’image dans le but de l’améliorer. Le plus simple est de tester ces fonctions et de ne retenir que celles qui semblent les plus pertinentes. Certaines fonctions par exemple nécessitent plusieurs passes et rallongent d’autant le temps de la numérisation. Celui-ci demeure toutefois acceptable et tout se passe en un seul clic. <br /><br />J’ai déjà indiqué que le passage des vues se fait manuellement. Le support à diapositive peut en contenir 4 au maximum et le support à négatifs peut porter des bandes allant jusqu’à 6 photos. J’ai des vieux films dont les négatifs m’étaient livrés non coupés; il faudra donc jouer avec les ciseaux.<br /><br />Le positionnement des diapositives est simple et rapide : l’emplacement prévu a exactement la taille standard et chaque vue est parfaitement maintenue. Pour les films à négatif, c’est un peu plus délicat : il n’y a que quelques repères pour guider le film et il faut positionner la bande de manière à faire coïncider la séparation des vues avec les cadres qui délimitent ces mêmes vues su le support. Parfois, la bande est un peu courte et le positionnement n’est pas aisé. Ensuite, il faut refermer le support pour que la bande soit maintenue et cela cause parfois un léger glissement de ladite bande; il faut alors essayer de la re-positionner sans l’abîmer. Parfois aussi, la bande de négatifs est incurvée si elle a été enroulée sur un support en carton (dans le temps, ça se faisait) et ça non plus ne facilite pas le positionnement. Heureusement, au bout d’un moment, on prend le coup et tout se passe assez bien.<br /><br />Le logiciel SilverFast permet de traiter chaque vue indépendamment pour par lot. Le choix par lot est parfait pour enchaîner les numérisations puisqu’on fixe à l’avance le début du nom des fichier et le reste est complété par le logiciel qui incrément un compteur.<br /><br />Par contre, il est important de prendre le temps d’afficher une pré-visualisation avant la numérisation de chaque vue car il peut être nécessaire de rectifier le cadre qui délimite la zone à scanner. A moins de définir un cadre assez large et d’accepter des zones noires autour des photos, quitte à les rectifier après coup dans iPhoto ou tout autre logiciel. Dans ce cas, le traitement d’un lot est rapide :<br />- placer la vue dans le scanner<br />- lancer le scan<br />- valider le nommage du fichier<br />- passer à la vue suivante<br /><br />J’ai commencé le travail par les diapositives et je dois dire que je suis satisfait du résultat.<br /><br /><br />Alain Goubault de Brugièrehttp://www.blogger.com/profile/08111037183377717897noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7194252326478737571.post-53356728273042656202008-08-24T14:39:00.000+01:002008-08-24T17:27:48.833+01:00Cloture des jeux olympiques à PékinAinsi donc, les français auront terminé ces jeux en beauté avec une ultime médaille d'or bien méritée en Hand-Ball. Comme d'habitude, les médailles françaises ont été en grande partie inattendues ou en tous cas peu médiatisées avant les épreuves. Ce n'est pas forcément un mal à la condition que les fédérations non "récompensées" se remettent en cause, ce qui est loin d'être le cas.<br /><br />Côté organisation, les chinois ont vraiment assuré : tout était presque parfait, nonobstant quelque zèle pour appliquer le règlement. Prenons-en de la graine.<br /><br />La France termine au 10è rang selon le classement officiel par nombre de médailles d'or, puis d'argent et enfin de bronze. En nombre total de médailles, la France se classe au 7e rang avec 40 médailles. Mais si on établit un classement pondéré en donnant, par exemple, 10 points à une médaille d'or, 3 points à une médaille d'argent et 1 point à une médaille de bronze, alors la France se classe au 8e rang. Alain Goubault de Brugièrehttp://www.blogger.com/profile/08111037183377717897noreply@blogger.com0