

Mon arrière-grand-père maternel
Epouse de Jean Pierre Sébastien
Duchaillut
Joseph Georges Hugues a participé au
conflit mondial de 1914 où il fut gazé
Fils aîné de Jean Pierre Sébastien
Duchaillut
Mon grand-père marternel
Colette fit sa profession de foi au
Monastère des Carmelites de Châlon sur Saône et prit le nom de
“Soeur Colette de Jésus Crucifié”
Soeur de Louise, elle épousa un
Vouillarmet qui étaient très liés aux Duchaillut
Cousine Germaine de Jean Etienne
Philippe
Frère de Marguerite, sous-lieutenant au
60e RI, 8e bataillon; il fut tué dès le permier jour des combats de
Verdun
Engagé volontaire, Louis Edmond a
participé à la guerre de Crimée et au conflit franco-allemand de
1870. En 1873, il est entré avec les honneurs dans la ville de
Nancy à la tête du 26e RI de Nancy qu'il commandait.
René Ernest Lécuyer et Marie Joséphine
Jacquemin avec leurs enfants de gauche à droite au premier plan :
Marie Victoire Joséphine, Louis Marie François et Jeanne Louise. A
l'arrière plan, Mathilde Eugénie qui ne vécut pas
Seconde épouse de René Ernest Lécuyer.
Ils étaient de grands voyageurs et ils ont parcouru toute l’Europe,
notamment l’Europe centrale. Ils se faisaient comprendre en parlant
latin
Mon arrière-grand-mère maternelle
Directeur des forges de Buré
Epouse de Eugène Noël
Léon Noël et Jeanne lécuyer en
compagnie de Georges Cheval et de sa fille Renée
Mon arrière-grand-père maternel
Jeanne et Léon se sont fiancés très
tôt, en cachette de leurs parents (Jeanne avait 15 ans; Léon avait
20 ans et il commençait ses études de pharmacien)
Médecin aux armées
Léon Noël fut fait prisonnier en 1915,
puis libéré un an plus tard à la faveur d'un échange sanitaire
organisé par la croix-rouge.
Ma grand-mère, Germaine, sur les genoux
de son père, Léon Noël et en compagnie des parents de Léon, Eugène
Noël et Marie Curé
Ma grand-mère maternelle
Ma grand-mère, telle que je l'ai
connue
Germaine Marie Noël et Jean Etienne
Philippe Duchaillut sur un bateau sur le bassin d'Arcachon
La famille duchaillut à Arcachon devant
le portail de la villa Iruskia juste après la débacle de l'armée
française en 1940. Mon arrière grand-père Léon Noël avait acquis
cette villa un peu avant la guerre car il craignait un nouveau
conflit et il voulait ainsi protéger sa famille qui avait déjà
connu les horreurs de la première guerre en Lorraine.
Malheureusement, les allemands ont immédiatement occupé tout le
littoral atlantique. La villa fut un temps réquisitionnée et même
pillée.
Jean et Germaine Duchaillut et leurs 4
filles, Léon et Jeanne Noël
En compagnie de Léon Noël
En compagnie de Léon Noël et Jeanne
Lécuyer, leurs grands-parents
Ma marraine. Elle avait une soeur,
Marthe, qui me faisait dire que j'avais deux marraines