Robin Williams

Will Hunting (Gus Van Sant - 1997)

Will hunting
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Will Hunting (Gus Van Sant - 1997)

Will hunting
Un film sans prétention, mais formidablement interprété par Matt Damon, alors jeune acteur, et Robin Williams. Le thème est couru - la réinsertion d'un pré-délinquant - mais le héros a largement de quoi compenser vu son Q.I. et ça fausse un peu le jugement. Mais peu importe, le propos est intéressant et on se réjouit de la décision finalement prise par le prodige.

A.I. Intelligence artificielle (Steven Spielberg - 2001)

A.I. Intelligence artificielle
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A.I. Intelligence artificielle (Steven Spielberg - 2001)

A.I. Intelligence artificielle
Le mythe de Pinocchio vu par Spielberg, transposé dans un futur peuplé de robots. Alors que les robots sont de plus en plus rejetés par les êtres humains, cette ultime création devient la référence de notre civilisation aux yeux des découvreurs de notre planète morte. Un chef d'oeuvre de sensibilité et d'émotion, des images somptueuses et des acteurs inspirés (dont Haley Joel Osment, le héros de "Sixième sens"). Le grand Spielberg a réalisé là l'un de ses meilleurs films sur un sujet contemporain.

Jumanji (Joe Johnston - 1995)

jumanji
Un film très original où un jeu de l’oie diabolique déclenche des catastrophes. Les joueurs doivent absolument terminer la partie en échappant à ces pièges. Il en résulte un suspense haletant, même si le réalisateur prend délibérément le parti de la comédie et qu’on sait d’avance qu’il n’arrivera rien de fâcheux au héros, un peu comme dans les « Gremlins ». A noter que Joe Johnston a participé à de nombreux films comme superviseur des effets visuels (notamment la première saga de la « Guerre des étoiles ») et que ces effets sont très spectaculaire dans ce film bien qu’on ait fait beaucoup mieux depuis.

L'homme bicentenaire (Chris Columbus - 1999)

l-homme-bicentenaire
Dans un monde visiblement apaisé où la technologie a fait d’immenses progrès, les humains ont laissé les tâches domestiques à des robots dociles et efficaces. Dans cette histoire éternelle des robots et des hommes, il n’est pas question ici de rébellion; on est plus proche de « Intelligence Artificielle » que de « I, Robot ». Cet univers aseptisé laisse le champ à la réflexion sur la possible humanisation d’êtres entièrement artificiels. La première étape est le développement cognitif du robot qui peut exprimer et surtout percevoir des sentiments. Vient ensuite l’évolution physique qui permet au robot de prendre une apparence humaine parfaitement trompeuse. Mais l’être humain, même pourvu d’organes artificielles, a pour lui l’avantage de la mortalité - car oui, c’en est un qui permet à l’homme de se dépasser sachant que le temps lui est compté. Dès lors, le héros robot ira jusqu’à sacrifier son immortalité pour obtenir de statut d’être humain à part entière.