Patrick Bruel

La maison assassinée (Georges Lautner - 1988)

La maison assassinée
Dès le début du film, on imagine que le scénario va nous emmener dans les méandres de la vengeance. Tout semble en place pour que le drame attendu se déroule sous nos yeux. Et puis, patatras! un mystérieux personnage sème le trouble et la mort, laissant le héros, très subtilement joué par Patrick Bruel, désemparé. La terrible vérité sera finalement salvatrice, y compris pour tout un village hanté par ses démons.

Force majeure (Pierre Jolivet - 1989)

Force majeure
Un film un peu étrange où deux jeunes gens doivent prendre une décision qui risque de bouleverser leur existence. Ils prendront leurs responsabilité, mais pour des motifs tout à fait différents. Malgré tout, le doute les tenaille et la peur de tout perdre s'installe peu à peu jusqu'au dénouement dramatique.

L'ivresse du pouvoir (Claude Chabrol - 2006)

ivresse-du-pouvoir
Pour compléter ses portraits au vitriol de la bourgeoisie, Chabrol se risque dans les méandres des magouilles financières. Il s’appuie sur l’affaire ELF qui avait fait grand bruit, mais plutôt que de se fourvoyer dans une description ennuyeuse de cet imbroglio, il préfère - et c’est tant mieux - nous conter les états d’âme du juge chargé de l’instruction (Isabelle Huppert est parfaite dans ce rôle) et de son entourage. Le résultat est mitigé car les personnages sont tous un peu falots, sans réel charisme, mais on suit l’affaire sans ennui.

L'ivresse du pouvoir (Claude Chabrol - 2006)

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