Michel Serrault
Vieille canaille (Gérard Jourd'hui - 1993)
jeudi 12 juillet 2007 Vu dans : Télévision
Ce bon film policier offre à
Michel Serrault un rôle sur mesure, car cet
acteur excelle notamment dans ce genre de rôle. A
contrario, Pierre Richard est à contre-emploi et
c'est aussi une réussite. Le ton du film et sa
mise en scène fait immanquablement penser à
Claude Chabrol, mais Gérard Jourd'hui n'a pas le
talent du maître, d'où un épilogue assez convenu.
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Les fantômes du chapelier (Claude Chabol - 1981)
jeudi 07 décembre 2006 Vu dans : Télévision
Le réalisateur explore la
piste d'un "serial killer" dans une ambiance
morbide à souhait : ville triste dans le
froid et la pluie, peu de personnages. Le jeu de
chat et de la souris entrepris par Serrault à
l'égard de son voisin, interprété par Aznavour,
est tout simplement stupéfiant. Si on sait
rapidement que Serrault est responsable du décès
de son épouse, on doit attendre pratiquement la
fin du film pour connaître la funeste
connaissance de cet acte et bien sûr, frustré ou
pas de sa dernière victime, Serrault ne saura pas
s'arrêter. L'épilogue est alors pour lui un vrai
soulagement. Le tout est magnifiquement amené par
Chabrol qui maîtrise son sujet comme nul autre.
Du grand Chabrol avec un grand Serrault.
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Le bonheur est dans le pré (Etienne Chatillez - 1995)
dimanche 03 mai 2009 Vu dans : Télévision
Une hirondelle a fait le printemps (Christian Caron - 2001)
mardi 19 septembre 2006 Vu dans : Télévision
En toute innocence (Alain Jessua - 1987)
mardi 01 août 2006 Vu dans : Télévision
Un meurtre est un meurtre Etienne Périer - 1972)
mercredi 27 août 2008 Vu dans : Télévision
Etienne Périer joue sur les
plates-bandes de Chabrol - qui joue en clin
d’oeil un petit rôle dans ce film avec des
personnages un peu falots qui se mettent
d’eux-mêmes dans des situations inextricables. Le
trio d’acteurs Brialy-Audran-Hossein donne à
l’ensemble une truculence jubilatoire. On en
redemande.
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Joyeux Noël (Christian Carion - 2004)
dimanche 07 décembre 2008 Vu dans : Télévision
En illustrant un épisode peu
connu, mais pas isolé, de la Grande Guerre, ce
film démontre que la fraternité entre les Hommes
perdure au delà de l’absurdité d’un conflit
stérile. Il ne faut pas rater le tout début du
film où des enfants récitent des poèmes
va-t-en-guerre de l’époque afin de mesurer le
fossé qui « semble » séparer ces
hommes, soldats comme officiers, qui se font la
guerre terrés dans leur trou-à-rat. La reprise du
massacre ne pourra évidemment se faire qu’en
séparant à tout jamais les protagonistes de cette
« scandaleuse » fraternisation.
Magnifique interprétation des acteurs, excellents
dans leur rôle et très belle mise en scène qui
n’insiste pas trop, heureusement, sur les
horreurs du conflit (le départ à l’attaque menée
par les français au début du film est
admirablement bien traitée; la peur viscérale qui
saisit les soldats est réellement palpable). A
noter les rôles inattendus de Dany Boon qui
démontre qu’il peut jouer des rôles tragiques et
de Diane Kruger en chanteuse lyrique prête à tout
pour sauver son amour et qui a bien du mérite à
mimer la grande Nathalie Dessay (son acolyte s’en
tire mieux, curieusement).
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Le bonheur est dans le pré (Etienne Chatillez - 1995)
lundi 13 novembre 2006 Vu dans : Télévision
Des pissenlits par la racine (Georges Lautner - 1964)
dimanche 30 août 2009 Vu dans : Télévision
Ce film un peu oublié est
tout à fait digne des Tontons flingueurs
(dialogues de Michel Audiard !). De Funès n’est
pas extravagant comme dans ses films plus récents
et son rôle est même presque pathétique. En fait,
tout le monde est vraiment sérieux dans ce film
et ce sont les situations incongrues qui donnent
ce ton de comédie. Seule Mireille Darc est
totalement désopilante, mélangeant la candeur et
le cynisme. Une comédie noire, donc, mais à ce
niveau de qualité, on en redemande.
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