Georges Lautner

Les tontons flingueurs (Georges Lautner - 1963)

Les tontons flingueurs
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La maison assassinée (Georges Lautner - 1988)

La maison assassinée
Dès le début du film, on imagine que le scénario va nous emmener dans les méandres de la vengeance. Tout semble en place pour que le drame attendu se déroule sous nos yeux. Et puis, patatras! un mystérieux personnage sème le trouble et la mort, laissant le héros, très subtilement joué par Patrick Bruel, désemparé. La terrible vérité sera finalement salvatrice, y compris pour tout un village hanté par ses démons.

Les barbouzes (Georges Lautner - 1964)

Les barbouzes
"Un barbu, c'est un barbu. Trois barbus, c'est des barbouzes". Les dialogues d'Audiard sont toujours truculents et ici, ils rendent le propos désopilant. Avec des acteurs comme Bernard Blier, Lino Ventura ou Francis Blanche, Lautner nous régale d'une comédie où le milieu des espions et contre-espions est épinglé avec bonheur et on rit de bon coeur. L'hécatombe des espions chinois est un pur moment de délire.

Des pissenlits par la racine (Georges Lautner - 1964)

des-pissenlits-par-la-racine
Ce film un peu oublié est tout à fait digne des Tontons flingueurs (dialogues de Michel Audiard !). De Funès n’est pas extravagant comme dans ses films plus récents et son rôle est même presque pathétique. En fait, tout le monde est vraiment sérieux dans ce film et ce sont les situations incongrues qui donnent ce ton de comédie. Seule Mireille Darc est totalement désopilante, mélangeant la candeur et le cynisme. Une comédie noire, donc, mais à ce niveau de qualité, on en redemande.

Les tontons flingueurs (Georges Lautner - 1963)

Les tontons flingueurs
Ce film est indémodable. Les acteurs incarnent véritablement leurs personnages. Les dialogues d'Audiard font mouche à chaque scène et la plupart d'entre-elles sont devenues cultes. La réalisation est exemplaire. Bref, on rit beaucoup même après l'avoir vu des dizaines de fois.