DVD / K7

Victoria: Les jeunes années d'une reine (Jean-Marc Vallée - 2009)

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Une journée en enfer (John Mc Tiernan - 1995)

Une journée en enfer
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Kill Bill 2 (Quentin Tarantino - 2004)

Suite et fin de cette histoire tragique et sanglante. La mise en scène est un peu apaisée et on approfondit la relation entre les personnages et les raisons de ce carnage. Il y a encore quelques scènes bien gore (le combat entre ”Black Mamba” et ”Elle Driver” par Budd interposé) et on regrette la fulgurance du combat final. Mais on est soulagé par le dénouement autant parce qu’on s’est attaché au personnage que par la fin de ces combats à perdre haleine.

Kill Bill (Quentin Tarantino - 2003)

Cette histoire de vengeance est prévue pour s’étaler sur plusieurs films. Tarantino peut alors prendre son temps pour peaufiner son sujet. Ce premier opus commence dans le sang et la souffrance du massacre qui est à l’origine du scénario. Ensuite, le réalisateur nous entraîne dans des flash-backs qui mettent en lumière chaque personnage. Après un premier épisode anecdotique, mais qui met en lumière la quête de l’héroïne et sa détermination, Tarantino nous emporte dans le monde de la pègre japonaise. En reprenant les codes des manga’s et des films de samouraïs, il bouscule ces références pour nous offrir un spectacle dantesque de violence et de poésie : séquences en dessin animé, gerbes de sang et carnage à tous les étages pour terminer dans un combat singulier digne de Tigres et Dragons. Film magnifique, spectacle étourdissant, résultat étonnant.

Retour vers l'enfer (Len Wiseman - 2006)

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Arrête-moi si tu peux (Steven Spielberg - 2003)

Arrête-moi si tu peux
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La Proposition (Anne Fletcher - 2009)

Charmante comédie avec d’excellents acteurs et de nombreuses scènes loufoques ou franchement surréalistes. On rit de bon coeur. Ne pas manquer l’”interrogatoire” qui ponctue le générique de fin.

Tous les matins du monde (Alain Corneau - 1991)

Tous les matins du monde
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Un jour sans fin (Harold Ramis - 1993)

Un jour sans fin
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Avatar (James Cameron - 2009)

Que dire de ce film sinon qu’il peut être vu comme un remake de Pocahontas (même thème du colon prêt à tout pour piller des richesses dans un monde dont il ne comprends pas le sens). Il est sans doute recommandé de le voir en 3D dans une grande salle bien équipée. Sur le poste de télévision, on reste un peu sur sa faim.
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Bienvenue à Gattaca (Andrew Niccol - 1998)

Bienvenue à Gattaca

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Anges et démons (Ron Howard - 2009)

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Quantum of Solace (Marc Forster - 2008)

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2012 (Roland Emmerich - 2009)

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Spider-Man 2 (Sam Raimi - 2003)

Spider-Man 2

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Soupçons (Alfred Hitchcock - 1941)

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Sous des prémices de comédie (on commence par sourire aux frasques de Cary Grant), ce chef d'oeuvre de Hitchcock est en fait un véritable drame et tout l'art du maître est de ménager le suspense jusqu'au dénouement.

Rebecca (Alfred Hitchcock - 1947)

Rebecca
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Anges et démons (Ron Howard - 2009)

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Men in Black (Barry Sonnenfeld - 1997)

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Ce film de science-fiction très original est totalement loufoque et bourré d'humour. Will Smith donne une réplique délirante face à Tommy Lee Jones qui joue le rôle du gars sérieux, mais finalement nostalgique de la vie normale qu'il n'a pas vécue. A voir sans retenue.

Twilight : Fascination (Catherine Hardwicke - 2008)

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Histoire d’amour entre une jeune fille et un « gentil » vampire qui fait des efforts pour ne pas croquer la Belle. Ce n’est pas tout à fait Roméo et Juliette, mais cet amour sera contrarié par des « méchants » vampires. Ces vampires ne craignant pas trop la lumière - contrairement aux « vrais » - sinon pour éviter d’être repérés, ça facilite la mise en scène qui évite les ambiances « fond de tombeau ». La bluette démarre doucement par la rencontre des deux héros. Ca se complique quand la Belle est repérée par les loups et le scénario s’emballe un peu. Il faudra attendre les autres épisodes pour que les événements se précipitent. La réalisation est très soignée avec de très belles images des forêts du Washington et les acteurs sont convaincants. Il n’en faut pas plus pour passer un bon moment.

L'étrange histoire de Benjamin Button (David Fincher - 2008)

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Par son thème et la façon dont il est traité, ce film est un mélange de « Harry rencontre Sally » et de « Forrest Gump ». Les héros se croisent à des moments clés de leur vie mais s’éloignent avant de se retrouver (ou se perdre définitivement). Leurs pérégrinations se heurtent à la Grande Histoire qu’ils traversent bon gré, mal gré. La figuration du héros est tout simplement exceptionnelle, surtout dans la première période où Brad Pitt campe un adolescent vieux d’aspect. Cate Blanchett lui donne la réplique avec bonheur et les seconds rôles sont formidables. Le film est long, mais jamais ennuyeux. A noter la référence patente à Jeunet et son « Amélie Poulain » dans la séquence de l’accident.

Piège de cristal (John Mc Tiernan - 1988)

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Gran Torino (Clint Eastwood - 2008)

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Avec un scénario à la limite simpliste et des personnages presque caricaturaux, Clint Eastwood réussit l’exploit d’en faire un film absolument magnifique, tout à la fois drôle et tragique mais toujours émouvant. L’épilogue inattendu montre que la justice vaut mieux que toute vengeance violente. Mention spéciale pour les deux jeunes acteurs débutants qui tiennent deux des principaux rôles, Bee Vang et Ahney Her.

Willow (Ron Howard - 1988)

Willow
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Pretty Woman (Garry Marshall - 1990)

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Cette bluette hollywoodienne est devenue une référence cinématographique, grâce à Julia Roberts qui tire merveilleusement bien son épingle du jeu. Richard Gere n’est pas en reste même si son rôle de garçon désabusé le met un peu en retrait.

Le Roi Arthur (Antoine Fuqua - 2005)

Le roi Arthur
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Le Cinquième Élément (Luc Besson - 1996 )

Le cinquième élément

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Amadeus (Milos Forman - 1984)

Amadeus
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Troie (Wolfgang Petersen - 2003)

Troie
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Les sentiers de la perdition (Sam Mendes - 2002)

Road to Perdition
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Kingdom of Heaven (Ridley Scott - 2004)

Kingdom of heaven
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Bienvenue à Gattaca (Andrew Niccol - 1998)

Bienvenue à Gattaca

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Le journal de Bridget Jones (Sharon Maguire - 2001)

Le journal de Bridget Jones
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Quantum of Solace (Marc Forster - 2008)

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Ludwig van B. (Bernard Rose - 1995)

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La vie privée de Beethoven est mal connue, mais on sait qu’il n’a eu que des relations éphémères avec des femmes généralement mariées. L’idée qu’il ait pu nourrir une passion absolue pour sa belle-soeur et plus encore que son neveu ait pu être son propre fils est absolument grotesque. C’est pourtant la ligne directrice de ce film. Par ailleurs, il est faux de prétendre que Beethoven ait été sourd toute sa vie. La surdité totale n’est apparue qu’en 1820 et jusqu’alors, Beethoven était un remarquable interprète. Mais peu importe, car le résultat est un film bien fait et les acteurs sont convaincants pour nous entraîner dans la vie tumultueuse du Grand Maître.

King Kong (Peter Jackson - 2005)

King Kong
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Un homme d'exception (Ron Howard - 2002)

Un homme d'exception
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A.I. Intelligence artificielle (Steven Spielberg - 2001)

A.I. Intelligence artificielle
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Ocean's twelve (Steven Soderbergh - 2004)

Ocean's twelve
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X-Men (Bryan Singer - 2000)

X-Men
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Deux soeurs pour un roi (Justin Chadwick - 2008)

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Ce film très shakespearien montre à quel point l’ambition peut conduire aux pires dévoiements. Dans ce domaine, l’oncle des deux soeurs Boylen est particulièrement ignoble tant il profite de l’ascendant sur sa propre famille pour mener à bien ses manigances criminelles. Car il s’agit d’une histoire véridique et chacun sait combien elle se termine mal. Ann Boylen semble faire preuve d’autant d’ambition que son oncle, mais en fait c’est uniquement en réaction à ses iniquités et elle est de fait manipulée comme les autres. Sa chute sera d’autant plus brutale et cruelle. Ce film est magnifiquement interprété par Natalie Portman et Scarlett Johansson; les décors et les costumes sont somptueux et reflètent bien l’ambiance de l’Angleterre du XVIe siècle.

La vie est belle (Franck Capra - 1946)

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Un merveilleux conte de Noël, avec sa naïveté et son optimisme sans jamais sombrer dans le pathos. James Stewart porte le film de bout en bout, parfaitement épaulé par tous les autres acteurs. Un véritable chef-d’oeuvre du cinéma.

Retour vers l'enfer (Len Wiseman - 2006)

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Retour vers l'enfer (Len Wiseman - 2006)

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Le concept de Die Hard repose sur un personnage a priori sympathique et qui ne demande rien à personne, sauf qu’il est toujours au mauvais endroit au mauvais moment, très curieux et observateur, métier oblige et que justement, il prend son métier très au sérieux, n’ayant plus guère que ça à sauver de sa vie personnelle. Il se met donc dans des situations pas possibles et il en prend plein la gueule avant de venir à bout de ses ennemis. Ce cocktail justifie tout ce qui peut suivre dans le scénario, aussi invraisemblable que ça puisse être. Et des situations invraisemblables, il y en a dans toutes les scènes de ce quatrième opus. Exit sa femme, bonjour la fille qui a bien grandi. De l’action (c’est un euphémisme), de l’humour et de la bravoure. Bref, tout ce qu’il faut pour assurer le succès de ce film.

Arrête-moi si tu peux (Steven Spielberg - 2003)

Arrête-moi si tu peux
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Soleil vert (Richard Fleischer - 1973)

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Vous voulez savoir à quoi ressemblera notre monde dans 50 ans ? La question n’est plus de savoir s’il ressemblera au cauchemar décrit dans ce film, mais quand. Depuis que le monde est monde, l’homme s’évertue à la détruire au profit de quelques uns et avec la bénédiction aveugle des autres. Contrairement à beaucoup de films de science-fiction où l’avenir est rempli d’avancées technologiques qui le rende improbable, ici tout n’est que misère sociale, corruption, précarité que même la science ne peut compenser par la perspective d’un avenir meilleur. Il n’y a plus de plantes, plus d’animaux, plus de nourriture, plus rien de naturel et l’homme en est réduit à des extrémités innommables. Terrifiant, apocalyptique, terriblement prémonitoire. Charlton Heston est un policier pas plus honnête que les autres pour survivre, mais il redevient un enfant quand il découvre ce que seuls les plus vieux ont pu connaître. L’acteur interprète ce rôle avec beaucoup de conviction et la mise en scène est exemplaire de sobriété.

Amadeus (Milos Forman - 1984)

Amadeus
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Bienvenue à Gattaca (Andrew Niccol - 1998)

Bienvenue à Gattaca

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Fantasia 2000 (Eric Goldberg - 2000)

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Ce deuxième opus ne vaut pas le premier pour la qualité générale et le choix des oeuvres illustrées, mais il est tout de même d’un très haut niveau. La reprise de l’apprenti-sorcier est du reste un hommage à peine masqué à son aîné. Cet oeuvre est tellement emblématique de Fantasia qu’on ne peut plus dissocier les images de la musique. Comme précédemment, la musique de Stravinski (ici l’oiseau de feu) est encore à l’honneur pour le morceau de bravoure.

Le hussard sur le toit (Jean-Paul Rappeneau - 1995)

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Gladiator (Ridley Scott - 1999)

Gladiator
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Terminator 3 (Jonathan Mostow - 2006)

Terminator 3
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La Guerre des mondes (Steven Spielberg - 2005)

La guerre des mondes
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Terminator 2 : le jugement dernier (James Cameron - 1991)

Terminator 2
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Terminator (James Cameron - 1984)

Terminator 3
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Je suis une légende (Francis Lawrence - 2007)

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Une excellente re-visitation du thème des vampires avec des scènes très spectaculaires alternant avec d’autres où l’angoisse et l’émotion sont largement représentés. Will Smith est excellent dans ce genre de personnage et il ne déroge pas à cette habitude.

Le journal de Bridget Jones (Sharon Maguire - 2001)

Le journal de Bridget Jones
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Sur la route de Madison (Clint Eastwood - 1995)

Sur la route de Madison
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La Traviata (Franco Zeffirelli - 1982)

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Une très grande page de la musique d'Opéra magistralement mise en scène par Zeffirelli. Les décors sont somptueux. Et que dire des chanteurs ? Teresa Stratas absolument sublime et Placido Domingo, un des meilleurs ténors de sa génération. Bref, à part peut-être un doublage (pour les besoins du film) un peu juste, ce film est une merveille.

Minority report (Steven Spielberg - 2002)

Minority report

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Léon (Luc Besson - 1994)

Léon
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Orgueil et préjugés (Joe Wright - 2004)

Orgueil et préjugés
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Les Hauts de Hurlevent (Peter Kosminsky - 1992)

Les Hauts de Hurlevent
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Casino Royale (Martin Campbell - 2006)

Casino Royale
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Danse avec les loups (Kevin Costner - 1990)

Danse avec les loups
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La marche de l'empereur (Luc Jacquet - 2005)

La marche de l'empereur
Les manchots Empereur sont vraiment de drôles d'oiseaux. Ils marchent pendant des dizaines de jours pour aller nidifier à l'abri des prédateurs, puis après la ponte, la femelle puis le mâle à tour de rôle regagne la mer pour quérir de la nourriture pour eux-mêmes et leur petit. C'est une histoire absolument incroyable et elle est magnifiquement filmée par Luc Jacquet et racontée par de très bons acteurs qui prêtent leur voix. Il en ressort un documentaire édifiant et paradoxalement, terriblement humain.

Tous les matins du monde (Alain Corneau - 1991)

Tous les matins du monde
La musique est le personnage central de ce film. Pas seulement parce qu'il raconte la vie de Sainte-Colombe au travers du récit de Marin Marais. Ni parce qu'elle illustre merveilleusement les magnifiques scènes du film. Mais parce qu'elle est au coeur du propos des personnages : Marin Marais, le génial virtuose qui cherche à percer les secrets de son maître, austère mais immense musicien, qui ne joue que pour revoir son épouse décédée sans qu'il ait pu l'accompagner - d'où son remords - et dont les divines harmonies avaient le don de faire revivre les morts. Un chef-d'oeuvre et peu importe qu'on aime ou pas cette musique : elle nous transporte au delà du paradis.

Harry Potter et L'Ordre du Phénix (David Yates - 2007)

Ordre du Phénix
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Pirates des Caraïbes : Jusqu'au bout du monde (Gore Verbinski - 2007)

Pirates des Caraïbes
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Un homme d'exception (Ron Howard - 2002)

Un homme d'exception
Russel Crowe est donc un véritable acteur, capable d'interpréter des rôles aussi différents qu'un gladiateur, un capitaine de la Navy et ici un mathématicien génial mais schizophrène. Le sujet de ce film pourrait effrayer a priori, mais le jeu d'une subtilité rare de Russel Crowe lui donne toute la dimension d'un vrai drame humain, pathétique et émouvant.

Les Hauts de Hurlevent (Peter Kosminsky - 1992)

Les Hauts de Hurlevent
Bien sûr, il y a l'inégalable référence avec Laurence Olivier où le roman très sombre et surnaturel d'Emily Brontë bénéficie du traitement en noir et blanc. Mais cette interprétation par la magnifique Juliette Binoche - décidément une très grande actrice -et le jeu sombre et malfaisant de Ralph Fiennes donnent à ce film une grande force narrative.

Da Vinci Code (Ron Howard - 2006)

Da Vinci Code
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Pirates des Caraïbes : Jusqu'au bout du monde (Gore Verbinski - 2007)

Pirates des Caraïbes
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Spider-Man 3 (Sam Raimi - 2007)

Spider-Man

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Robin des bois, prince des voleurs (Kevin Reynolds - 1991)

Robin des bois
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Danse avec lui (Valérie Guignabodet - 2007)

Danse avec lui
Le scénario pourrait laisser accroire à un vague remake de "L'homme qui murmurait à l'oreille des chevaux". Heureusement, il n'est est rien, non pas que ce dernier film soit mauvais - au contraire - mais de là à en faire un remake ! Dans celui-ci, les personnages sont cassés par la vie et leur relation avec les chevaux s'en est trouvée affectée, meurtrie. Leur rencontre avec comme but de dompter un cheval difficile va les réconcilier avec eux-mêmes. L'histoire est vraiment très belle, magnifiquement filmée par une passionnée des chevaux, ce qui nous vaut de magnifiques scènes.

Léon (Luc Besson - 1994)

Léon
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Haute voltige (Jon Amiel - 1998)

Haute voltige
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Léon (Luc Besson - 1994)

Léon
Très bon film, tout à fait dans l'esprit de Luc Besson (Nikita, Le 5e élément) : iconoclaste et décalé. Natalie Portman est une véritable révélation et la maturité de son jeu est étonnant. Gary Oldman est totalement déjanté et on le retrouvera avec plaisir dans ce registre dans le 5e élément; mais on sait qu'il peut jouer bien d'autres rôles (Sirius Black dans Harry Potter). Jean Reno est lui tout simplement extraordinaire dans le rôle d'un tueur un peu simplet mais finalement d'une grande humanité avec un sens de certaines valeurs, loin de la caricature - volontaire - de Nikita.

Casino Royale (Martin Campbell - 2006)

Casino Royale
Film visionné à partir d'un DVD Blue-Ray en HD lu sur une PS3 et projeté sur un écran LCD Sharp de 42 ". Eh bien, franchement, je ne vois pas de différence par rapport à un "simple" DVD. Peut-être une question de réglages ou bien faut-il un équipement encore plus sophistiqué. Mais quand le film est bon, peu importe les conditions de visionnage finalement.
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Les sentiers de la perdition (Sam Mendes - 2002)

Road to Perdition
Un film sur les gangsters aux états-unis dans les années 1930, un de plus pourrait-on dire, mais celui-là sort vraiment de l'ordinaire. Ce n'est pas une biographie d'un gangster connu, ni l'éternel combat du bien et du mal avec d'un côté les méchants gangsters et de l'autre les gentils policiers incorruptibles. Ici, pas de policier - ou si peu - rien que des gangsters qui s'entre-tuent pour éviter d'autres représailles. Mais le propos est ailleurs, dans la lutte sans merci que doivent se livrer deux pères pour sauver leur fils. Et les rapports humains entre ces personnages sont la clé de voûte et assurent le succès de ce film magnifique. Tom Hanks et Paul Newmann sont décidément de très grands acteurs.

Gladiator (Ridley Scott - 1999)

Gladiator
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Nikita (Luc Besson - 1990)

Nikita
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Casino Royale (Martin Campbell - 2006)

Casino Royale
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Terminator 2 : le jugement dernier (James Cameron - 1991)

Terminator 2
Probablement le meilleur de la série. James Cameron est aux commandes avec des possibilités d'effets spéciaux bien supérieures au précédent opus (le "méchant" Terminator est tout simplement extraordinaire). Arnold Schwarzenegger est toujours égal à lui-même, jouant beaucoup sur le registre de l'auto-dérision. Et l'histoire est toujours aussi captivante.

Ocean's twelve (Steven Soderbergh - 2004)

Ocean's twelve
Le scénario de ce deuxième opus est alambiqué et il faut être très attentif pour ne pas en perdre le fil, d'autant que les clés ne sont données qu'à la fin. mais on se prend facilement au jeu irrésistible d'une belle pléiade d'acteurs avec en prime la présence de Catherine Zeta-Jones. Un film plein d'humour malgré l'enjeu et un grand moment : Julia Roberts dans le rôle du sosie de l'actrice qui se fait passer pour l'actrice aux yeux de Bruce Willis dans son vrai propre rôle. Si vous avez compris, vous arriverez sans peine à suivre cette intrique. Comme dans Ocean’s Eleven, la musique est un élément essentiel du film.

Da Vinci Code (Ron Howard - 2006)

Da Vinci Code
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Out of Africa (Sydney Pollack - 1986)

Out of Africa
Ce film est tout simplement exceptionnel : décors somptueux du Kenya, acteurs merveilleux, très belle mise en scène d'une histoire hors du commun. On se laisse emporter par cette Afrique à la fois sauvage et nonchalante.

Le voyage de Chihiro (Hayao Miyazaki - 2002)

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Ce dessin animé est une pure merveille. Il conte le voyage initiatique de Chihiro qui devra se plonger dans ses plus profonds souvenirs pour sauver ses parents et son ami Haku de l'emprise d'une sorcière. Les dessins, le scénario, les personnages, tout est absolument parfait et on se laisse porter par l'histoire.

L'étrange Noël de Monsieur Jack (Henry Selick - 1994)

Etrange Noel de monsieur Jack
Un film d'animation d'une très grande force poétique. Jack Skeleton qui conçoit habituellement la fête macabre de Halloween décide, parce qu'il s'ennuie, de célébrer la fête de Noël. Cela lui occasionnera des ennuis, mais finalement une grande joie et l'amour en récompense. Les personnages sont drôles et pathétiques, les chansons faciles à retenir. Un merveilleux spectacle.

Casino Royale (Martin Campbell - 2006)

Casino Royale
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Minority report (Steven Spielberg - 2002)

Minority report

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Le Parfum : histoire d'un meurtrier (Tom Tykwer - 2006)

Le Parfum
Cette histoire est celle de la quête d'un être pour sa propre odeur qui est le vecteur primitif essentiel de son insertion sociale. Un accident va le conduire à une folie meurtrière au terme de laquelle il inventera un parfum (en fait une odeur) qui annihile tout sentiment néfaste à son égard et le conduira jusqu'à sa propre destruction. La gageure de Süskind, l'auteur du roman, était de nous faire ressentir les odeurs avec des mots. Le défi relevé par le film était de le faire avec des images. Pari réussi, notamment et quoiqu'en disent certains qui n'ont pas compris le propos de l'auteur dans la scène orgiaque à la fin de l'oeuvre. Un peu moins dans la scène de la grotte, beaucoup plus forte dans le livre. Mais peu importe, ce film est une grande réussite, fidèle au roman.

Jeanne d'Arc (Luc Besson - 1998)

Jeanne d'Arc
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Le jour d'après (Roland Emmerich - 2004)

Le jour d'après
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Star wars, épisode III : La revanche des Siths (Georges Lucas - 2005)

Star wars : La revanche des Siths
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Kingdom of Heaven (Ridley Scott - 2004)

Kingdom of heaven
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Marie-Antoinette (Sofia Coppola - 2006)

Marie-Antoinette

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King Kong (Peter Jackson - 2005)

King Kong
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M: I : III (J.J. Abrams - 2006)

Mission impossible 3
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Pirates des Caraïbes : Le secret du coffre maudit (Gore Verbinski - 2006)

Pirate des Caraïbes
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Les Autres (Alejandro Amenabar - 2001)

Les autres
Un huis clos à la frontière entre le monde des vivants et celui des morts. Mais qui sont les uns et qui sont les autres ? Toute la magie du film réside dans cette interrogation qui nous emporte avec brio dans une histoire résolument fantastique.

Monsieur Batignole (Gérard Jugnot - 2002)

Monsieur Batignole

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Sixième sens (M. Night Shyalaman - 1999)

Sixième sens
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Moonraker (Lewis Gilbert - 1979)

Moonraker
Un des meilleurs James Bond avec Roger Moore. Tout cela fait très kitsch maintenant, mais le scénario - plutôt futuriste - tient la route et les personnages sont pittoresques, avec une bonne dose d'humour. Malgré tout - et c'est un gros défaut de la série avec Roger Moore - certaines scènes sont inutiles et seulement le prétexte à des courses poursuites et des cascades. A noter la présence de nombreux acteurs français.

M: I : III (J.J. Abrams - 2006)

Mission impossible 3
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X-Men 3 : L'affrontement final (Brett Ratner - 2006)

X-Men 3
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Da Vinci Code (Ron Howard - 2006)

Da Vinci Code
La version longue apporte des éléments qui manquaient à la première version cinéma et de plus, avec le recul - le souvenir du livre qui s'estompe - on prend finalement beaucoup de plaisir à voir ce film.
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Terminator 3 (Jonathan Mostow - 2006)

Terminator 3
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X-Men 3 : L'affrontement final (Brett Ratner - 2006)

X-Men 3
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Mission (Roland Joffé - 1985)

Mission
Ce film retrace cette époque peu glorieuse de l'évangélisation des peuples d'Amérique du Sud. Il est réalisé de main de maître par Roland Joffé avec des décors grandioses de l'Amazonie et accompagné d'une musique magnifique. La scène finale est d'une sauvagerie inouïe dont personne ne peut être fier aujourd'hui. Elle démontre malheureusement que l'Homme n'a décidément pas appris grand-chose de son passé et qu'il est prêt à recommencer encore et toujours les mêmes erreurs.

M: I : III (J.J. Abrams - 2006)

Mission impossible 3
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On ne vit que deux fois (Lewis Gilbert - 1967)

On ne vit que deux fois
Un très bon James Bond au pays du soleil levant avec Sean Connery au meilleur de sa forme. Les séquences d'action font un peu kitch, mais il faut replacer le film dans son époque et l'essentiel est dans le scénario très bien ficelé.

Danse avec les loups (Kevin Costner - 1990)

Danse avec les loups
Ce film magnifique est un vibrant plaidoyer pour le peuple sioux. Une bande d'individus ivrognes et sans scrupules venus d'Europe les ont dépouillés de leurs terres et de leur âme. A ce titre, la scène où l'on voit les bisons massacrés par des colons avides est édifiante. Que les descendants de ces squatters aient eu le courage de montrer ce véritable génocide est une bonne chose en soi. Kevin Costner est formidable dans le rôle d'un des ces hommes blancs qui prend conscience que la vraie vie est ailleurs. Les paysages sont grandioses et on ne se rend pas compte de la durée exceptionnelle du film tant chaque scène se doit à l'évidence de prendre son temps pour montrer les choses en harmonie avec le rythme de vie de ce peuple décimé.

E.T. l'extraterrestre (Steven Spielberg - 1982)

E.T. l'extraterrestre
Spielberg a révolutionné avec son immense talent notre approche des peuples extra-terrestre : en 1977 avec l'incroyable Rencontre du troisième type, puis en 1982 avec E.T. La saga de la guerre des étoiles est à part puisque toute l'action se situe dans un autre monde. Avant ces deux phares du cinéma, les extraterrestres étaient généralement considérés comme des envahisseurs immondes et sanguinaires. Avec Spielberg, ils deviennent des êtres dont la conscience est extraordinairement plus élévée que la nôtre et qui se traduit dans leur comportement. Dans E.T., les circonstances sont un prétexte pour une histoire d'amitié hors du commun qui nous émeut au plus profond de nous-mêmes. Un chef-d'oeuvre.

Spider-Man (Sam Raimi - 2002)

Spider-Man
Pas de temps morts. Un film idéal pour une bonne soirée cinéma.
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Le Cinquième Élément (Luc Besson - 1996 )

Le cinquième élément
Ce film est une véritable bande dessinée au cinéma, mais le résultat est un thriller futuriste des plus jouissifs. On aime y retrouver Bruce Willis très en forme en lutte contre les méchants. Et le ton général étant plutôt à la dérision, on savoure les dialogues et les situations pleines d'humour. A noter que le film débute comme un vrai bon film de S.F. et dès que Chris Tucker entre en scène, tout dérape vers le grand burlesque.

Le journal de Bridget Jones (Sharon Maguire - 2001)

Le journal de Bridget Jones
Ce pastiche de "Orgueil et Préjugés" est vraiment très drôle et la performance de Renée Zellweger est particulièrement remarquable.

Le Seigneur des anneaux - Les deux tours (Peter Jackson - 2002)

Le Seigneur des anneaux
Comme le laissait espérer le premier volet, cette suite cinématographique de l'oeuvre de Tolkien tient toutes ses promesses. La mise en place achevée, Peter Jackson peut déployer tout son art de la mise en scène et le résultat est exceptionnel, principalement les scènes de bataille bien sûr : la bataille des Ent mais surtout l'immense assaut de la forteresse de Helm. Tout est désormais prêt pour l'affrontement final.

Les choristes (Christophe Barratier - 2004)

Les choristes
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Orgueil et préjugés (Joe Wright - 2004)

Orgueil et préjugés
Cette oeuvre de Jane Austen avait fait l'objet d'un magnifique téléfilm réalisé par la BBC et qui rendait justice au roman fleuve de l'auteur. Ici, le format plus court impose des raccourcis. Mais par contre, l'Angleterre de la fin du XVIIIe siècle est parfaitement rendue et la réalisation très soignée ainsi que le très bon jeu des acteurs aboutissent à un résultat très probant. Sans être un chef d'oeuvre du cinéma, on prend beaucoup de plaisir à suivre cette histoire.

Shakespeare in love (John Madden - 1998)

Shakespeare in love
Tout le film repose sur la dualité de l'oeuvre maîtresse de Shakespeare, Roméo et Juliette, et de sa génèse dans l'Angleterre du 17e siècle. Une mise en scène parfaitement maîtrisée et un montage astucieux permettent la confusion harmonieuse entre les événements réels et les scènes de théâtre. Les acteurs, de premier plan aussi bien que les seconds rôles, sont parfaits. Une oeuvre originale et splendide.

Stalingrad (Jean-Jacques Annaud - 2000)

Stalingrad
La scène d'ouverture est digne des meilleurs films de genre. Elle montre à quel point les russes ont été les victimes des stratèges impitoyables de l'union soviétique. Le reste du film, magnifiquement réalisé, est beaucoup plus intimiste et aussi beaucoup plus intéressant. Le jeu des acteurs peut s'exprimer pleinement pour nous donner une oeuvre magistrale.

Terminator (James Cameron - 1984)

Terminator 3
Le premier film de la série est aussi le plus captivant. Les effets spéciaux ne phagocytent pas un scénario parfaitement maîtrisé par Cameron, comme à son habitude. Les acteurs humanisent cette histoire de robots et de fin du monde et le film en est d'autant plus crédible.

King Kong (Peter Jackson - 2005)

King Kong
Ce film est tout simplement formidable. Grâce à des effets spéciaux toujours plus extraordinaires, King Kong est stupéfiant de réalisme et d'une expressivité incroyable (le regard !). Mais il y a aussi les scènes de combat entre King Kong et les T-Rex absolument parfaites et aussi la folle débandande des brontosaures poursuivis par des raptors, à mes yeux la scène la plus sensationnelle du film. Le seul bémol pourrait être le scénario, un peu convenu car tellement ressemblant aux deux autres films dans ses grandes lignes. Mais comment pourrait-il en être autrement ? à moins de rebâtir un scénario complètement original, ce qui n'était pas l'objectif de Peter Jackson qui voulait ici rendre hommage au premier film des années 30. C'est la raison pour laquelle il a replacé l'action dans ce contexte historique.

West Side Story (Robert Wise - 1960)

West Side Story
Cette transposition de Roméo et Juliette dans le West Side de New-York est transcendée par la musique sublime de Leonard Bernstein. La réalisation est d'un dynamisme extraordinaire et c'est magnifiquement filmé. Un très grand film musical.

Jane Eyre (Franco Zefirelli - 1996)

Jane Eyre
Charlotte Gainsbourg est l'interprète idéale pour ce rôle phare du roman anglais du XIXe siècle. La mise en scène très sobre de Zefirelli rend bien hommage à l'oeuvre de Charlotte Brontë. William Hurt est ténébreux à souhait. Anne Paquin et Joséphine Serre sont craquantes. Dans l'ensemble un très bon film dans un genre où Zefirelli excelle.

Nikita (Luc Besson - 1990)

Nikita
Ce film ne sera jamais démodé grâce au style inimitable de Luc Besson
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Terminator 3 (Jonathan Mostow - 2006)

Terminator 3
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Jeanne d'Arc (Luc Besson - 1998)

Jeanne d'Arc
L'approche de Luc Besson sur Jeanne d'Arc était sans aucun doute de la présenter comme un être humain avant tout : une jeune fille illuminée voire histérique mais totalement dévolue à la cause de son roi et qui le paiera de sa vie. Et pour faire bonne figure, elle est trahie de tous les côtés, y compris par ceux pour lesquels elle s'est sacrifiée, au nom de la diplomatie. Mais en fait, le mythe de Jeanne d'Arc étant une invention moderne et qu'on lui enlève tout ce côté soit-disant divin qui la caractérise dans notre imaginaire, il ne peut rester qu'un personnage, certes hors du commun, mais finalement intégré dans son époque, sauvage et cruelle. Luc Besson nous offre alors un spectacle grandiose où l'intimitié des tête-à-tête de Jeanne d'Arc avec sa conscience succède aux scènes de batailles d'une sauvagerie incroyable. Les images sont magnifiques et les scènes des "rêves" oniriques de Jeanne sont d'une beauté transcendante. Très belle prestation de tous les acteurs.

Le Seigneur des anneaux - La communauté de l'anneau (Peter Jackson - 2001)

Le Seigneur des anneaux
Ce premier volet de la célèbre trilogie est avant tout un prélude au deux autres qui suivront, avec l'apothéose du "Retour du Roi". Même dans l'oeuvre de Tolkien, ce volume est un peu à part : nombreuses explications sur les événements passés, introduction des personnages et présentation des peuples qu'ils représentent. Le réalisateur - très inspiré - et même les acteurs prennent leur marques et s'approprient leur personnage. Il en découle une impression d'un coup d'essai, comme par exemple dans la saga Harry Potter. Mais qu'on ne s'y trompe pas, ce coup d'essai est ici un coup de maître et les volets suivants n'en seront que plus grandioses encore. la mise en scène parfaitement maîtrisée; les décors grandioses de Nouvelle-Zélande; la qualité de jeu des acteurs, si bien investis dans leur personnage qu'on s'attache à eux et à leur sort; les scènes de bataille d'une efficacité remarquable - la bataille dans les mines de la Moria. Tout cela concoure à faire de ce film une immense réussite qui laisse augurer du meilleur pour la suite.

Kingdom of Heaven (Ridley Scott - 2004)

Kingdom of heaven
Voir ou revoir ce film est toujours un plaisir. Comme Gladiator, ce n'est pas une simple succession de batailles et les personnages sont avant tout des êtres humains, avec leurs idéaux et leurs faiblesses.
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Le jour d'après (Roland Emmerich - 2004)

Le jour d'après
A l'instar de nombreux films américains un tant soi peu catastrophiques, il ne faut pas s'arrêter sur les aspects politiques du propos. De toutes façons, les américains sont toujours les meilleurs et c'est la faute aux autres s'il leur arrive des malheurs; les autres qu'ils ne savent même pas placer sur une carte du monde, soit dit en passant. Mais bon ! Le sujet n'est pas là. Le plus intéressant est la façon dont Emmerich aborde le dérèglement climatique avec son lot d'effets spéciaux extrêmement bien réussis et finalement, on se prend au jeu et le film est très plaisant à voir.

L'âge de glace (Chris Wedge - 2001)

L'âge de glace

Un film d'animation d'une drôlerie à en éclater de rire, mais sans aucune vulgarité. Pour ne citer que celle-là, je recommande plus particulièrement la scène dans le labyrinthe de glace, absolument délicieuse. Voilà de quoi passer un bon moment.

Troie (Wolfgang Petersen - 2003)

Troie
A quelques (grosses) exceptions près, Petersen respecte l'Ilyade d'Homère. Mais comme pour prendre le contre-pied de cette oeuvre magistrale, les grecs sont présentés ici comme les grands méchants et les troyens sont au contraire les gentils agressés. Ce parti pris lui permet de jouer sur le personnage d'Achille qui prend conscience de l'absurdité de son existence et trouvera la rédemption. Le film est un prétexte à de grandes scènes de bataille magnifiquement mises en scène, mais l'intimité des principaux personnages emportés par cette absurdité est l'occasion de très belles scènes où la musique de Horner s'inscrit à merveille. Du grand spectacle.

Spider-Man 2 (Sam Raimi - 2003)

Spider-Man 2
J'ai revu ce film avec autant de plaisir que la dernière fois. On ne s'en lasse pas. Vivement la suite...
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La Guerre des mondes (Steven Spielberg - 2005)

La guerre des mondes
Toujours aussi terrifiant
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Autant en emporte le vent (Victor Flemming - 1939)

Autant en emporte le vent
Un chef d'oeuvre du cinéma pour un drame humain finalement très moderne. Les acteurs sont exceptionnels, même si le personnage de Ashley Wilkes (Leslie Howard) est quelque peu carricatural. Le fondement historique - la guerre de sécession - est superbement rendu dans toute son absurdité avec l'incroyable défi de ne montrer aucune bataille.

Les chevaliers du ciel (Gérard Pirès - 2005)

Les chevaliers du ciel
Ce film est absolument décoiffant grâce aux scénes aériennes à la réalisation exceptionnelle et d'un réalisme total. Trop peut-être : les américains savent faire des scènes de ce type avec beaucoup plus de moyens informatiques pour un résultat très différent, mais d'une force incroyable. Mais c'est tout de même le point fort du film car le scénario un peu confus a du mal à décoller, un comble. Il faut attendre la moitié du film pour enfin entrer dans le vif du sujet.

Harry Potter et La coupe de feu (Mike Newell - 2005)

La coupe de feu
Après le cinéma, le DVD
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Pirates des Caraïbes : la malédiction du Black Pearl (Gore Verbinski - 2003)

Pirate des Caraïbes
Ce film est extrêmement réjouissant car il ré-invente les histoires de pirates, forcément sanguinaires, mais avec en plus une touche de fantastique (la malédiction qui frappe l'équipage de Black Pearl) et aussi beaucoup d'humour - merci Johnny Deep. La Candeur d'Orlando Bloom est tout aussi rafraîchissante.

Le hussard sur le toit (Jean-Paul Rappeneau - 1995)

Le hussard sur le toit
Quand un film est aussi exceptionnel, il ne tarde pas à rejoindre ma vidéothèque.
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La légende de Zorro (Martin Campbell - 2005)

La légende de Zorro
Après le cinéma, le DVD.
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Master and Commander : de l'autre côté du monde (Peter Weir - 2003)

Master and Commander
Enfin un film sur les guerres navales du temps des voiliers qui s'attache à restituer une vérité historique. Inspiré d'un des romans très bien documentés de Patrick O'Brien, on ne voit que le côté anglais des événements, mais on pourrait inverser les rôles sans problème. Chaque navire est seul, perdu dans l'immensité de l'océan et son équipage est livré à lui-même. Les scènes de combat, rapides et sauvages, sont très bien rendues jusque dans le bruit des salves de canons et du bois déchiqueté par les projectiles. Russel Crowe qu'on a pu admirer dans Gladiator campe un capitaine respectueux de son adversaire mais déterminé à le vaincre et aussi quelque peu imbu de sa personne. Tous les acteurs sont formidables et rendent justice à leurs personnages. Bref, un excellent film.

Les enchaînés (Alfred Hitchcock - 1946)

Les enchaînés
Un des meilleurs films de Hitchcock de la grande période américaine avec d'immenses acteurs. Le sujet est évidemment inspiré des événements récents, mais il est bien traité, sans manichéïsme de circonstance ni outrance dans le propos. Les scènes "intimes" entre les deux personnages principaux sont bien un peu artificielles (on est habitué à mieux depuis cette époque), mais le scénario sans faille laisse s'établir le suspense jusqu'aux dernières images du film.

Nikita (Luc Besson - 1990)

Nikita
Avec Nikita, Luc Besson re-visite totalement le genre du film policier, comme il a souvent fait exploser les archétypes dans d'autres genres par la suite. Anne Parillaud s'en tire à merveille dans le rôle titre, y mettant toute la fougue et la hargne de sa jeunesse, et qui finit par briser le carcan de la manipulation dont elle est victime. Quant à Eric Serra, il accompagne si bien l'action avec sa musique qu'elle est est l'un des personnages. Luc Besson fera sans doute encore mieux avec "Léon", mais il signe là un film absolument magistral.

Sixième sens (M. Night Shyalaman - 1999)

Sixième sens
Quand on voit ce film pour la première fois, on est littéralement happé par le scénario et son épilogue carrément bluffant. On se refait le film dans la tête pour y retrouver les détails qui justifient la fin. Les autres fois, on reste confondu par la qualité de la mise en scène et par l'intense émotion qui s'en dégage. Haley Joel Osment est stupéfiant. Vraiment un très bon film.

Terminator 3 (Jonathan Mostow - 2006)

Terminator 3
Ce volet tardif de la saga Terminator n'est certes pas le meilleur de la série, mais il faut reconnaître que la mise en scène est diablement efficace et les effets spéciaux sont très réussis (les métamorphoses de Kristanna Loken et la course poursuite en ville). De plus, le sujet est traité avec humour, presque de la dérision malgré la gravité du sujet, très d'actualité. Bref, sans être un chef d'oeuvre, on passe un bon moment avec l'éternel Schwarzy.

Un long dimanche de fiançailles (Jean-Pierre Jeunet - 2004)

Un long dimanche de fiancailles
Ce film est tout aussi magistral que le célébrissime "Amélie Poulain". On y retrouve la magnifique technique visuelle mise au point par Jeunet ainsi qu'une bonne partie des acteurs qui ont fait le succès du premier film. Le scénario tiré du roman de Japrisot est beaucoup plus complexe à rendre au cinéma. Mais la maîtrise de Jeunet aboutit à un résultat absolument magnifique. Les scènes de guerre sur le front des tranchées sont d'un réalisme saisissant et la quête de Mathilde tisse admirablement le lien qui donne toute sa force à cette histoire.

Rebecca (Alfred Hitchcock - 1947)

Rebecca
Voilà sans doute l'un des meilleurs films du maître : histoire sans faille, acteurs magnifiques, etc. Même le noir et blanc renforce l'ambiance lugubre qui prévaut tout au long du film. Joan Fontaine sait faire évoluer son personnage de l'ingénuité du début à l'épouse profondément marquée par une histoire qui la dépasse totalement. Formidable.

X-Men 2 (Bryan Singer - 2003)

X-Men 2
La suite de X-Men est un peu plus complexe que le premier épisode avec l'entrée en scène du créateur de Wolverine qui va ainsi se retrouver face à son passé et devra faire un choix. Les effets spéciaux sont encore plus impressionnants. Certains personnages sont étoffés au service d'une histoire moins linéaire mais toute aussi prenante. Un vrai réussite.

La Guerre des mondes (Steven Spielberg - 2005)

La guerre des mondes
Après le cinéma, le DVD. Le film perd un peu sur le petit écran, mais c'est tout de même superbe.
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Star wars, épisode III : La revanche des Siths (Georges Lucas - 2005)

Star wars : La revanche des Siths
C’est l’épisode de toutes les révélations qui vont donner du corps à la première saga. Anakin bascule totalement du côté obscur et devient un seigneur Sith sous le nom désormais célébrissime de « Darth Vador ». Les effets spéciaux sont tout simplement extraordinairement maitrisés (voir par exemple la scène d’ouverture où des vaisseaux spatiaux s’affrontent bord à bord comme un bateau pirate prenant un galion à l’abordage). Les combats sont aussi formidablement orchestrés. Bref, le meilleur épisodes des six qui composent désormais cette saga digne de sa légende.

Willow (Ron Howard - 1988)

Willow
Bien avant le Seigneur des Anneaux, Ron Howard signe un film parfaitement maîtrisé dans le genre "Heroic Fantasy" avec des monstres, des sorcières et tout un monde moyen-âgeux. Le combat solitaire de Val Kilmer contre les soldats ennemis, les trolls et le dragon tous à la fois, mais aussi le combat final entre les deux sorcières constituent quelques unes des meilleures scènes du film.

Les choristes (Christophe Barratier - 2004)

Les choristes
Merveilleux film qui mérite le succès qu'il a eu. Les acteurs sont exceptionnels de naturel, la musique de Bruno Coulais est magnifique et la mise en scène d'une sobriété exemplaire. Gérard Jugnot prouve une fois de plus qu'il peut être un immense acteur dans des rôles dramatiques. A voir et à revoir sans se lasser.

Kingdom of Heaven (Ridley Scott - 2004)

Kingdom of heaven
La chute de Jerusalem par Saladin vue par le réalisateur de Gladiator est un spectacle grandiose. La réalisation est magnifiquement maîtrisée avec de très bon acteurs jamais caricaturaux. La musique de Harry Gregson-Williams est superbe et elle accompagne avec bonheur le déroulement de l'action. L'assaut final sur Jerusalem est un moment d'anthologie.

Spider-Man 2 (Sam Raimi - 2003)

Spider-Man
Ce film est encore meilleur que le premier. Par les effets spéciaux encore plus réussis que dans le précédent opus (les virevoltes de Spiderman au milieu des buildings sont incroyables de réalisme et que dire de la séquence où Spiderman arrête un métro fou). Mais l'essentiel est aussi dans le jeu des personnages. Le désarroi de Peter Parker qui n'arrive pas à assumer son super-pouvoir jusqu'au renoncement est très bien rendu par Tobey Maguire en antihéros et tous les autres acteurs sont également convaincants.

Jurassic Park (Steven Spielberg - 1992)

Jurassic park
Ce film a vraiment révolutionné l'usage intelligent de l'image de synthèse au service d'un très bon scénario. Tout est parfaitement maitrisé comme d'habitude chez Steven Spielberg. Tous les dinosaures sont parfaitement intégrés dans le film. Le tyrannosaure est terrifiant à souhait avec une longue scène cauchemardesque, mais à mes yeux la vedette, c'est le ou plutôt les velociraptors, particulièrement vicieux.

Le Roi Arthur (Antoine Fuqua - 2005)

Le roi Arthur
Ce film est dans la lignée du “Gladiator” de Ridley Scott. En fait, il se situe entre "Gladiator" (thème du héros solitaire) et le "Seigneur des anneaux" (les hordes barbares, les hommes de la forêt). Le scénario est bien construit et il revisite d'une manière originale la légende du Roi Arthur. Les scènes de bataille sont extrêmement violentes, principalement la première et bien sûr la grande bataille finale. En fait guère plus que dans "Gladiator" mais elles durent plus lontemps. La bataille sur la glace est une scène d'anthologie.