sept. 2009

Le Capitan (André Hunebelle - 1960)

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Un bon film de cape et d'épée avec André Hunebelle aux manettes et Jean Marais à la castagne. Bourvil amène sa bonne humeur en contrepoint.

La Vie privée de Sherlock Holmes (Billy Wilder - 1970)

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Le titre est plutôt mal choisi pour ce film qui raconte la rencontre de Sherlock Holmes avec le monde de l'espionnage et ses belles espionnes. L'histoire commence par le récit du docteur Watson qui avertit qu'il va dévoiler des secrets sur la personnalité privée du héros. S'ensuit une première partie un peu longuette sur ce sujet, avant d'entamer l'histoire d'espionnage proprement dite. Heureusement, celle-ci est beaucoup plus intéressante et on se laisse entraîner par un scénario totalement rocambolesque, mais drôle et tragique. Dommage que l'épilogue apparaisse comme une certaine apologie de la drogue comme soit-disant remède à un certain mal de vivre.

Poséïdon (Wolfgang Petersen - 2006)

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Ce film est un remake du célèbre "L'aventure du Poséïdon" réalisé dans les années 1970. Ce dernier est typique du genre des films catastrophe qui fleurissaient à cette époque, intéressants, bien faits, mais sans génie. Celui-ci n'est pas pour autant un chef-d'oeuvre, mais les moyens techniques ayant évolué et sous la direction inspirée d'un maître du genre, il est beaucoup plus crédible et réaliste - si tant est qu'une telle catastrophe puisse réellement se produire, bien sûr. Cela se traduit par des décors qui ressemblent bien plus à l'idée qu'on se fait d'un paquebot qui se serait retourné. Dans l'original, c'est juste un bateau où tout est à l'envers. Ici, la panique et la l'instinct de survie sont les deux guides des rescapés. Et quand certains finissent par y laisser leur vie, c'est sans esbroufe, presque dans l'anonymat et l'indifférence, voire dans la violence (la scène où un pauvre marin est précipité dans le vide par ses compagnons d'infortune est à ce titre édifiante; dans beaucoup de films, il se serait sacrifié avec un grand renfort de pleurs et de cris d'épouvante; ici, il est éjecté à grand coups de pieds pour le faire tomber). Il en résulte une ambiance de peur et de claustrophobie semblable à celle qui habite les sous-mariniers du film "Le bateau" du même Petersen. A ce titre, ce film est une vraie réussite.

Scènes de crimes (Frédéric Schoendoerffer - 2000)

Scènes de crimes

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Le journal de Bridget Jones (Sharon Maguire - 2001)

Le journal de Bridget Jones
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Men in Black (Barry Sonnenfeld - 1997)

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Ce film de science-fiction très original est totalement loufoque et bourré d'humour. Will Smith donne une réplique délirante face à Tommy Lee Jones qui joue le rôle du gars sérieux, mais finalement nostalgique de la vie normale qu'il n'a pas vécue. A voir sans retenue.

Nuits blanches à Seattle (Nora Ephron - 1993)

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Charmante comédie romantique, sans aucun méchant à se mettre sous la dent. Le duo Tom Hanks / Meg Ryan fonctionne parfaitement.

Mon petit doigt m'a dit (Pascal Thomas - 2005)

Mon petit doigt m'a dit
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The Game (David Fincher - 1997)

The Game
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Robocop 2 (Irvin Kershner - 1989)

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On prend les mêmes (acteurs) et on recommence, mais l'originalité du premier scénario ne se renouvelle pas d'un coup de baguette magique et l'idée initiale perd de son intérêt. Même le combat final, pourtant une des meilleurs séquences, ne permet pas de sauver le film d'un certain ennui. N'est pas Terminator qui veut.

L'homme au masque de fer (Randall Wallace - 1997)

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Ce film, qui retrace une histoire rocambolesque contée par Alexandre Dumas, prend des libertés avec l'Histoire et le roman. Le scénario est malgré tout bien ficelé et le choix des acteurs pour jouer les rôles des anciens mousquetaires est parfait, ce qui nous donne des scènes de combat mémorables (la charge des mousquetaires à la fin du film). Leonardo DiCaprio est aussi formidable dans un double rôle schizophrénique, pratiquement deux personnages opposés en caractère. A noter la présence de Hugh Laurie (Dr House) dont l'apparition en perruque provoque une irrésistible envie de rire.

Présumé innocent (Alan J. Pakula - 1990)

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Mission: Impossible III (J.J. Abrams - 2006)

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Stupeurs et tremblements (Alain Corneau - 2003)

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Ce film nous entraîne dans le monde de l’entreprise au Japon, avec ses codes mystérieux et impénétrables pour un occidental. On peut rire des situations humiliantes auxquelles Amélie, magnifiquement interprétée par Sylvie Testud, est confrontée. On peut aussi en être scandalisé, mais ce serait justement méconnaître le mode de pensée japonais. Il y a de véritables moments de poésie pure, notamment lorsque Amélie laisse son esprit divaguer sur la ville, vite rappelée à l’ordre par un des ses chefs. Ses moments de monologue avec Fubuki sont également très intenses, notamment lorsque Amélie la surprend en pleurs - suprême humiliation - et surtout quand elle lui fait remarquer la similitude de leurs prénoms, l’un signifiant pluie et l’autre neige. A noter que le film a été tourné en japonais, y compris pour le rôle d’Amélie; par contre, le doublage en français, assuré par l’actrice n’est pas très bon.

L'horloger de Saint-Paul (Bertrand Tavernier - 1974)

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Il faut oublier certains discours politico-gauchisants et se concentrer sur la relation entre un père et son fils recherché puis jugé pour meurtre. L’incompréhension, réelle mais tranquille, entre ces deux êtres qui prévalait dans la vie d’avant fait alors place à un soutien total du père envers son fils. Dans ce registre, Philippe Noiret est excellent comme d’habitude.

Robocop (Paul Verhoeven - 1988)

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Ce film nous plonge dans une ambiance de pourriture qui rappelle le Gotham de Batman. Les personnages ont une psychologie plutôt sommaire, mais la réalisation est plutôt bien faite avec des effets spéciaux tout à fait honorables pour l’époque. Certaines séquences sont même franchement gore.