oct. 2008

Les 4 fantastiques (Tim Story - 2005)

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Au début du film, on craint le pire, qu’il s’agisse d’un mauvais film de série B et on le regrette d’autant plus que ces héros sont un des piliers des bandes dessinées Marvel. Et puis, la magie opère et on admire les effets spéciaux très bien réalisés et spectaculaire. Les « pouvoirs » de nos super-héros sont le prétexte à beaucoup de fantaisie et d’humour (Ben/La chose est très attachant, étant le plus mal loti des 4). Bien sûr, tout bien réfléchi, l’histoire est assez banale, mais peu importe : on s’amuse et c’est l’essentiel.

Amadeus (Milos Forman - 1984)

Amadeus
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Le Fugitif (Andrew Davis - 1993)

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Reprenant la trame de l’histoire d’une célèbre série, Andrew Davis en fait un film d’action avec son lot de scènes spectaculaires, mais la nature relativement nonchalante du personnage joué par Harrisson Ford permet d’y amener des contrepoints dramatiques ou émouvants. Au final, le résultat est bien équilibré et on ne décroche pas jusqu’au dénouement

Shakespeare in love (John Madden - 1998)

Shakespeare in love
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Le grand chemin (Jean-Loup Hubert - 1986)

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Très joli film où Anémone fait preuve d’une sensibilité fort à propos dans ce rôle d’écorché vive. Richard Bohringer lui donne la réplique avec sa gouaille habituelle.

Le Pic de Dante (Roger Donaldson - 1996)

Le Pic de Dante
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L'ivresse du pouvoir (Claude Chabrol - 2006)

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Pour compléter ses portraits au vitriol de la bourgeoisie, Chabrol se risque dans les méandres des magouilles financières. Il s’appuie sur l’affaire ELF qui avait fait grand bruit, mais plutôt que de se fourvoyer dans une description ennuyeuse de cet imbroglio, il préfère - et c’est tant mieux - nous conter les états d’âme du juge chargé de l’instruction (Isabelle Huppert est parfaite dans ce rôle) et de son entourage. Le résultat est mitigé car les personnages sont tous un peu falots, sans réel charisme, mais on suit l’affaire sans ennui.

Malice (Harold Becker - 1994)

Malice
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Le Mystère von Bülow (Barbet Schroeder - 1990)

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Un film très particulier qui se veut raconter, sous couvert d’une histoire vraie, le procès en appel d’un homme condamné pour le meurtre de sa femme. En fait, le film ne raconte pas le procès lui-même, mais la course des avocats pour contrer l’accusation lors de ce procès à venir. Le ton est essentiellement narratif puisque l’accusé - qui se dit innocent mais que personne ne croit - doit raconter les épisodes passés pour tenter de faire éclater la vérité. Celle-ci est toute demi-teinte du reste tellement le personnage passe du pathétique au cynique (Jeremy Irons est remarquable dans ce rôle). On pourrait craindre l’ennui, mais la mise en scène très dynamique permet de s’accrocher à l’histoire. A noter la narration en partie confiée à la victime, dans le coma, donc pas tout à fait morte (Glenn Close toute aussi remarquable en épouse névrosée, droguée et alcoolique).

L'Affaire Karen McCoy (Russell Mulcahy - 1994)

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Un excellent film policier, enfin si on veut car même le policier est ripoux. Bref, les gentils voleurs volent les méchants voleurs et tout est bien qui ne devrait pas forcément bien finir. mais c’est un peu ça le cinéma. Kim Bassinger et Val Kilmer sont tout à fait crédibles, la palme revenant à Terence Stamp qui campe un bon gros méchant.