nov. 2008

Coup de foudre à Notting Hill (Roger Michell - 1998)

Coup de foudre à Notting Hill
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Flight Plan (Robert Schwentke - 2005)

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Dans ce film, Jodie Foster est souvent présentée comme l’alter-ego féminin de Bruce Willis (Die Hard). Désolé, mais on est loin du compte et seul l’épilogue peut faire dire ça. Ceci dit, ce film commence comme un cauchemar éveillé pour Jodie Foster et se termine par un petit feu d’artifice où le méchant - qui n’a pas la gueule de l’emploi soit dit en passant - est pulvérisé aux 4 coins de l’aéroport. Heureusement, l’ambiance générale du film permet de l’apprécier même quand il n’y a pas vraiment d’action et au final, on est satisfait d’avoir passé un bon moment en si agréable compagnie.

Retour vers l'enfer (Len Wiseman - 2006)

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Le concept de Die Hard repose sur un personnage a priori sympathique et qui ne demande rien à personne, sauf qu’il est toujours au mauvais endroit au mauvais moment, très curieux et observateur, métier oblige et que justement, il prend son métier très au sérieux, n’ayant plus guère que ça à sauver de sa vie personnelle. Il se met donc dans des situations pas possibles et il en prend plein la gueule avant de venir à bout de ses ennemis. Ce cocktail justifie tout ce qui peut suivre dans le scénario, aussi invraisemblable que ça puisse être. Et des situations invraisemblables, il y en a dans toutes les scènes de ce quatrième opus. Exit sa femme, bonjour la fille qui a bien grandi. De l’action (c’est un euphémisme), de l’humour et de la bravoure. Bref, tout ce qu’il faut pour assurer le succès de ce film.

Les chevaliers du ciel (Gérard Pirès - 2005)

Les chevaliers du ciel
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Les nuits avec mon ennemi (Joseph Ruben - 1990)

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Mon Dieu, qu’il est vilain. Au moins, on ne le regrettera pas lors de l’épilogue de ce film un peu convenu. Julia Roberts confirme son talent et elle est épatante comme d’habitude.

Arrête-moi si tu peux (Steven Spielberg - 2003)

Arrête-moi si tu peux
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Soleil vert (Richard Fleischer - 1973)

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Vous voulez savoir à quoi ressemblera notre monde dans 50 ans ? La question n’est plus de savoir s’il ressemblera au cauchemar décrit dans ce film, mais quand. Depuis que le monde est monde, l’homme s’évertue à la détruire au profit de quelques uns et avec la bénédiction aveugle des autres. Contrairement à beaucoup de films de science-fiction où l’avenir est rempli d’avancées technologiques qui le rende improbable, ici tout n’est que misère sociale, corruption, précarité que même la science ne peut compenser par la perspective d’un avenir meilleur. Il n’y a plus de plantes, plus d’animaux, plus de nourriture, plus rien de naturel et l’homme en est réduit à des extrémités innommables. Terrifiant, apocalyptique, terriblement prémonitoire. Charlton Heston est un policier pas plus honnête que les autres pour survivre, mais il redevient un enfant quand il découvre ce que seuls les plus vieux ont pu connaître. L’acteur interprète ce rôle avec beaucoup de conviction et la mise en scène est exemplaire de sobriété.

La légende de Zorro (Martin Campbell - 2005)

La légende de Zorro
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Prête-moi ta main (Eric Lartigau - 2006)

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Cette comédie est une agréable surprise excellents comédiens, très bons dialogues, etc. Tout y est pour passer un bon moment.

Préjudice (Steven Zaillian - 1998)

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Un film de procès comme les américains aiment en faire. Sauf qu’ici, le scénario est atypique car il se termine « mal » : les « méchants » perdent moins que les « gentils » malgré l’affreuse réalité des faits. Travolta est pathétique à la fin du film quand il doit expliquer à un juge pourquoi il est ruiné.

X-Men 2 (Bryan Singer - 2003)

X-Men 2
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Le monde ne suffit pas (Michael Apted - 1999)

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Eh bien, le moins qu’on puisse dire, c’est que Brosnan souffre de la comparaison avec le nouveau venu dans ce rôle de James Bond. Non pas que cet épisode ne soit pas bon, mais tout, de la phychologie des personnages jusqu’à la réalisation, a un parfum suranné (le film a déjà 10 ans, ceci dit). Il faut un peu de temps avant d’oublier Daniel Craig et apprécier ce film pour ce qu’il est : un bon film d’action bâti sur un scénario un peu complexe et interprété par d’excellents acteurs. Quelques séquences choc ravivent à point nommé l’intérêt : la course poursuite dans la neige très bien réglée, l’attaque des hélicoptères-scies totalement bluffante et la séquence finale du sous-marin parfaitement réaliste sont des moments d’anthologie.

Quantum of Solace (Marc Forster - 2008)

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Pour la première fois, un James Bond reprend là où l’histoire s’était arrêtée lors du précédent épisode. Car notre héros ne compte pas en rester là - au grand dam de ses supérieurs qui ne le contrôlent pas - et il s’attaque à une organisation qui rappelle le Spectre des anciens opus. Dès lors, la machine aux morceaux de bravoure est lancé dès le début et elle n’est pas prête de s’arrêter (ne pas rater la course poursuite en avion ni la désintégration de l’hôtel en plein désert : moments inoubliables). Daniel Craig dans la peau du personnage est décidément bien crédible et ce film est fait pour réconcilier les fans déçus par les successeurs du prestigieux Sean Connery. Ah oui, à propos du titre : le film ne donne aucune réponse et de toutes façons, il est intraduisible, même en anglais.