déc. 2009

Le Kid (Charles Chaplin - 1921)

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Un film particulièrement émouvant, parfois déchirant quand on emmène l’enfant de force en l’arrachant à la tutelle de Charlot. Mais le burlesque n’est jamais loin et on passe des larmes au rire dès la scène suivante. Pour que tout se termine bien, évidemment.

La ruée vers l'or (Charles Chaplin - 1925)

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Sans doute le meilleur film de et avec Charlot, ici dans sa version sonorisée par Chaplin lui-même (musique et commentaires descriptifs). On rit de bon coeur des pérégrinations de notre héros et ce d’autant plus que l’histoire se termine bien, comme d’habitude.

Forrest Gump (Robert Zemeckis - 1994)

Forrest Gump
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Out of Africa (Sydney Pollack - 1986)

Out of Africa
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Police Python 357 (Alain Corneau - 1977)

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Film policier typique du cinéma français des années 1970 avec de grands acteurs qui croient en leur personnage.

Joue-la comme Beckham (Gurinder Chadha - 2002)

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Un film frais et réjouissant qui montrent comment on peut faire des concessions de part et d’autres pour le respect des traditions tout en vivant dans un monde moderne.

Jumanji (Joe Johnston - 1995)

jumanji
Un film très original où un jeu de l’oie diabolique déclenche des catastrophes. Les joueurs doivent absolument terminer la partie en échappant à ces pièges. Il en résulte un suspense haletant, même si le réalisateur prend délibérément le parti de la comédie et qu’on sait d’avance qu’il n’arrivera rien de fâcheux au héros, un peu comme dans les « Gremlins ». A noter que Joe Johnston a participé à de nombreux films comme superviseur des effets visuels (notamment la première saga de la « Guerre des étoiles ») et que ces effets sont très spectaculaire dans ce film bien qu’on ait fait beaucoup mieux depuis.

Un Indien dans la ville (Hervé Palud - 1994)

Un indien dans la ville
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Spider-Man (Sam Raimi - 2002)

Spider-Man
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Spider-Man 2 (Sam Raimi - 2003)

Spider-Man 2

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Ocean's twelve (Steven Soderbergh - 2004)

Ocean's twelve
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Casino Royale (Martin Campbell - 2006)

Casino Royale
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Mémoire de nos pères (Clint Eastwood - 2006)

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Ce film n’est pas un film de guerre, mais un film SUR la guerre. Il est intelligemment articulé autour de cette photographie légendaire du lever d’un drapeau sur un point culminant de la petite île d’Iwo Jima. D’un côté, Clint Eastwood nous montre la guerre, moche, sale, répugnante avec des images chocs de mort et de souffrance. Les images les plus terribles ne sont d’ailleurs pas les plus gores, mais celles où des soldats voient leurs camarades mourir dans leurs bras. De l’autre, il nous montre la récupération politique d’un événement pour redonner à l’opinion lasse de cette guerre l’envie de continuer et d’en finir. Les héros sont fatigués. Ils n’en peuvent plus de ces massacres autant que de la vacuité des autorités qui ne savent plus comment terminer ce conflit. On sait qu’à la suite de cette bataille féroce, la première sur le sol japonais, les états-unis ont pris la mesure des difficultés qui les attendaient dans les mois, voire les années à venir et que l’opinion cèderait avant d’en terminer avec encore plus de larmes et de sang. C’est cette prise de conscience qui a motivé l’utilisation de l’arme atomique. La mise en scène est remarquablement intelligente, les héros fêtés par le peuple se rappelant les heures terribles qu’ils ont passées sur ce bout de terre noire et malodorante. Et les acteurs sont tout aussi formidables, en particulier Adam Reach dans le rôle d’un indien, le plus américain de ces héros, par le sol, mais qui ne supportera pas la mascarade qu’on cherche à lui imposer.