août 2008

Un meurtre est un meurtre Etienne Périer - 1972)

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Etienne Périer joue sur les plates-bandes de Chabrol - qui joue en clin d’oeil un petit rôle dans ce film avec des personnages un peu falots qui se mettent d’eux-mêmes dans des situations inextricables. Le trio d’acteurs Brialy-Audran-Hossein donne à l’ensemble une truculence jubilatoire. On en redemande.

Sur mes lèvres (Jacques Audiard - 2001)

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Deux êtres un peu paumés se manipulent l’un l’autre, puis s’allient quand leur survie est en jeu. Les comédiens sont époustouflants de naturel. Et peu importe l’histoire abracadabrante, le résultat est tout simplement remarquable.

Le miroir à deux faces (André Cayatte - 1958)

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La réalisation est un peu « molle », mais on ne boude pas son plaisir en revoyant ces deux merveilleux comédiens dans ce drame de la jalousie : la très grande Michèle Morgan bien sûr, mais aussi Bourvil dans un rôle inattendu.

Rock (Michael Bay - 1996)

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Film d’action pure où l’adrénaline coule à flots, mais pas seulement. Grâce au flegme légendaire de Sean Connery et à l’attitude un peu enfantine de Nicolas Cage, l’humour est très présent et fait contrepoint aux événement dramatique du scénario. La course poursuite dans les rues de San Francisco est un des meilleurs moments.

La vengeance aux deux visages (Marlon Brando - 1961)

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Ce western raconte une somme toute assez traditionnelle histoire de vengeance mais les deux acteurs principaux ont suffisamment de présence et de talent - même si Marlon Brando ne le pousse pas très loin - pour que le résultat soit tout à fait acceptable.

La vie de David Gale (Alan Parker - 2003)

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On pourrait croire à un remake convenu du film « Jugé coupable » mais heureusement il n’en est rien. Le dénouement à tiroirs est parfaitement caché à la perspicacité des spectateurs. Kevin Spacey est tout simplement extraordinaire, parfaitement entouré par les deux rôles féminins.

Fantasia 2000 (Eric Goldberg - 2000)

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Ce deuxième opus ne vaut pas le premier pour la qualité générale et le choix des oeuvres illustrées, mais il est tout de même d’un très haut niveau. La reprise de l’apprenti-sorcier est du reste un hommage à peine masqué à son aîné. Cet oeuvre est tellement emblématique de Fantasia qu’on ne peut plus dissocier les images de la musique. Comme précédemment, la musique de Stravinski (ici l’oiseau de feu) est encore à l’honneur pour le morceau de bravoure.

Tuer n'est pas jouer (John Glen - 1987)

Tuer n'est pas jouer
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US Marshals (Suart Baird - 1998)

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Dans la foulée du très bon film « Le fugitif », Tommy Lee Jones remet le couvert avec un scénario qui manque singulièrement d’originalité et qui est quelque peu tiré par les cheveux. Il y a tout de même de belles scènes et Westley Snipes qui joue le rôle du fugitif est remarquable.

Le nom de la rose (Jean-Jacques Annaud - 1986)

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Un thriller moyen-âgeux : le pari est osé mais très réussi. Sean Connery est remarquable en franciscain toujours prêt à désobéir pour faire éclater la vérité.

Octopussy (John Glen - 1983)

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Le scénario est original et bien mené malgré l’âge de Roger Moore qui a de plus en plus de mal à donner le change. Très belle scène d’introduction.

Le hussard sur le toit (Jean-Paul Rappeneau - 1995)

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L'homme au pistolet d'or (Guy Hamilton - 1974)

Un excellent opus de la saga James Bond avec Roger Moore, sur un très bon scénario. Dommage que les scènes habituelles de course-poursuite soient aussi inutiles et sans intérêt.